« Nous payons lourdement le coût de non qualité du développement humain,…… Il vaut mieux former dix ingénieurs compétents qui innovent, créent de la richesse, de l’emploi et exportent plutôt que 1000 autres mal qualifiés et qui deviennent des cas sociaux pour le pays : il faut alors payer les entreprises pour les employer ». Tel est le constat que fait Lamiri (2012) pour expliquer les faibles performances de l’économie algérienne. Ainsi, les entreprises publiques comme les entreprises privées doivent se préoccuper davantage des ressources humaines et en faire une véritable richesse humaine.
La manière de travailler n’est plus la même. Qu’en est-il de la gestion des ressources humaines en Algérie ? Comment cette fonction s’est –elle adaptée aux mutations qu’a connue l’entreprise algérienne ? Telles sont les questions qui animeront ce travail.
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Posté Le : 12/03/2024
Posté par : einstein
Ecrit par : - Kerzabi Abdelatif - Brikci Djazila
Source : Revue Algérienne des Ressources Humaines Volume 1, Numéro 1, Pages 57-71 2016-04-01