Algérie

Grève générale dans les territoires occupés en 1948



Grève générale dans les territoires occupés en 1948
Les Palestiniens des territoires palestiniens occupés en 1948 observaient hier une grève générale pour protester contre les destructions de maisons de familles arabes par les autorités israéliennes. Dans les localités arabes, occupées par Israël en 1948, les institutions publiques, les établissements scolaires, les banques et la grande majorité des magasins n'ont pas ouvert, ont rapporté les médias. «Cette grève est une réponse à l'escalade des autorités israéliennes et à la poursuite de la féroce politique d'incitation à la haine contre les Arabes lancée par le Premier ministre Benjamin Netanyahu lors des élections», a affirmé dans un communiqué le Haut comité pour les Arabes d'Israël. Cet appel à la grève devait culminer avec une manifestation dans l'après-midi «au coeur de Tel-Aviv», selon les médias. Les autorités israéliennes ont récemment détruit plusieurs maisons et fait évacuer des dizaines d'autres, tandis que les associations de défense des Arabes israéliens affirment que des dizaines de milliers de maisons sont sous le coup d'un ordre de démolition.Présidentielle au Burundi L'UE dénonce «l'intimidation et la violence»L'Union européenne (UE) a dénoncé «l'intimidation et la violence» au Burundi, théâtre d'affrontements entre police et manifestants depuis l'annonce de la candidature du président Pierre Nkurunziza à un troisième mandat. «L'intimidation et la violence, les morts et blessés, l'arrestation de défenseurs de droits de l'Homme et la restriction des médias, le flux de réfugiés vers des pays voisins n'ont pas leur place dans un processus électoral», a affirmé un porte-parole du service diplomatique de l'UE. «Nous appelons tous les acteurs burundais à la retenue, tout en soulignant qu'il revient aux autorités de garantir l'exercice pacifique des droits civils et politiques, y compris le droit de manifestation et d'expression pour tous les acteurs politiques ainsi que pour la société civile et les médias». Des heurts ont éclaté depuis dimanche entre manifestants et des policiers à Bujumbura, après l'annonce de la candidature du président Pierre Nkurunziza à un troisième mandat controversé. En outre, une figure de la société civile burundaise, le défenseur des droits de l'Homme Pierre-Claver Mbonimpa, qui a appelé à manifester contre un éventuel troisième mandat de M.Nkurunziza, a été arrêté lundi. «Les affrontements violents (...) causant plusieurs morts et blessés, démontrent combien la paix est encore fragile au Burundi», a souligné l'UE. L'UE «appelle» le président Pierre Nkurunziza à aborder la question de sa candidature «dans un esprit de réconciliation, dans l'intérêt du pays et en vue d'une solution respectueuse des accords d'Arusha» signés en 2000 et qui ont ouvert la voie à la fin de la longue guerre civile burundaise (1993-2006). «Les élections doivent être crédibles, inclusives et non-violentes», a demandé l'UE.




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