"Grâce à l'Armée, l'Algérie a dépassé une situation dangereuse"

Après le rappel bref sur le parcours du l'EmirAbdelkader, le candidat à la magistrature suprême à enchaîné directement son discours, sur l'urgence de renforcer le Fond national intérieur qui passe par la construction des institutions solides et la cohésion entre les citoyens et les institutions sécuritaires.Après le rappel bref sur le parcours du l'EmirAbdelkader, le candidat à la magistrature suprême à enchaîné directement son discours, sur l'urgence de renforcer le Fond national intérieur qui passe par la construction des institutions solides et la cohésion entre les citoyens et les institutions sécuritaires.
Animant un meeting populaire, avant-hier jeudi, à la salle omnisports de Mascara, Ali Benflis a affirmé que grâce aux efforts de l'Armée nationale populaire, l'Algérie ne vit plus une crise sécuritaire. Pour le président de Talaia El Houriate, toutes les tentatives de perturbation de la Révolution pacifique par des forces extra constitutionnelles, ont été vouées à l'échec, grâce à l'Armée."Grâce à la vigilance de l'Armée, l'Algérie a dépassé une situation dangereuse", a-t-il dit. Devant ses partisans, Benflis a estimé que le chemin le plus court et le plus sûr, c'est d'aller aux élections. "Depuis 2011, l'Algérie n'a pas un Président qui parle aux citoyens, et représenté le pays dans des sommets mondiaux". "Est ce que le pays mérite ce sort", s'interroge-t-il. Détaillant les grands axes de son programme, le candidat a mis l'accent sur la nécessité d'impliquer les jeunes dans la vie politique et économique. "Si je suis élu, je m'engage à revoir en priorité la révision des modalités d'octroi des crédits".
Animant un meeting populaire, avant-hier jeudi, à la salle omnisports de Mascara, Ali Benflis a affirmé que grâce aux efforts de l'Armée nationale populaire, l'Algérie ne vit plus une crise sécuritaire. Pour le président de Talaia El Houriate, toutes les tentatives de perturbation de la Révolution pacifique par des forces extra constitutionnelles, ont été vouées à l'échec, grâce à l'Armée."Grâce à la vigilance de l'Armée, l'Algérie a dépassé une situation dangereuse", a-t-il dit. Devant ses partisans, Benflis a estimé que le chemin le plus court et le plus sûr, c'est d'aller aux élections. "Depuis 2011, l'Algérie n'a pas un Président qui parle aux citoyens, et représenté le pays dans des sommets mondiaux". "Est ce que le pays mérite ce sort", s'interroge-t-il. Détaillant les grands axes de son programme, le candidat a mis l'accent sur la nécessité d'impliquer les jeunes dans la vie politique et économique. "Si je suis élu, je m'engage à revoir en priorité la révision des modalités d'octroi des crédits".