Algérie

Gouvernement : fin d'une léthargie ' Un changement imminent annoncé



Gouvernement : fin d'une léthargie '                                    Un changement imminent annoncé
L'annonce sera faite très prochainement. Probablement, aujourd'hui ou au plus tard au début de la semaine prochaine. Le changement ou un remaniement du gouvernement est imminent. C'est ce qu'on apprend de sources sûres. Il était temps. Les Algériens attendent avec impatience le changement du gouvernement. Annoncé plusieurs fois en diverses occasions, il n'en fut rien. Le chef de l'Etat a pris tout son temps pour composer l'équipe gouvernementale qui conduira les affaires du pays.
L'annonce sera faite très prochainement. Probablement, aujourd'hui ou au plus tard au début de la semaine prochaine. Le changement ou un remaniement du gouvernement est imminent. C'est ce qu'on apprend de sources sûres. Il était temps. Les Algériens attendent avec impatience le changement du gouvernement. Annoncé plusieurs fois en diverses occasions, il n'en fut rien. Le chef de l'Etat a pris tout son temps pour composer l'équipe gouvernementale qui conduira les affaires du pays.
Il est annoncé un remaniement imminent du gouvernement. Il était temps si cela se traduit dans les faits. Il était annoncé depuis les élections législatives du 10 mai dernier la formation d'un nouveau gouvernement qui remplacerait celui dirigé par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Ou à tout le moins son remaniement. De par la tradition, il est convenu que le Premier ministre présente la démission de son gouvernement au président de la République, dès l'annonce par le Conseil constitutionnel des résultats des élections législatives, même si constitutionnellement rien n'oblige à le faire. Ahmed Ouyahia ne l'a pas fait. Le gouvernement est resté en place. Le président est resté muet. Il n'a pas renouvelé sa confiance au Premier ministre ou mis fin à ses fonctions et nommé une autre personne pour le remplacer. Le gouvernement partira ou ne partira pas, les spéculations n'ont pas cessé d'alimenter la chronique depuis le soir de l'annonce des résultats. Annoncé par les «salons d'Alger» à l'occasion de la double commémoration de la Fête de l'indépendance et de la jeunesse, le 5 juillet, il n'en fut rien. Ce sera après les fêtes de l'Aïd, assurent des sources. Il semble que cette fois-ci le nouvel appareil exécutif a de bonnes chances d'être installé très prochainement. On laisse entendre que c'est imminent. Le chef de l'Etat a pris tout son temps pour choisir les ministres qui composeront l'équipe gouvernementale. A-t-il pris en considération les résultats des élections législatives, là aussi rien ne l'oblige à le faire. Et personne n'est en mesure d'avancer ce que décidera le président Bouteflika. C'est qui est sûr, c'est qu'il y aura du changement. Un changement réclamé par la classe politique et le peuple algérien et l'une des initiatives les plus attendues est ce remaniement ministériel qui a trop tardé, que beaucoup d'indices prédisent pour les tout prochains jours. Un évènement majeur est attendu, début septembre. C'est la rentrée qui pointe du nez. Une rentrée marquée par l'incertitude pour de multiples raisons. Rentrées scolaire et universitaire, rentrée sociale sur fond de bouillonnement en raison d'un pouvoir d'achat largement laminé par l'inflation et la proximité d'échéances importantes comme les élections locales du 29 novembre, la loi de finances que le gouvernement doit présenter devant le Parlement qui, lui, reprendra du service le 3 septembre prochain. Toutes ces échéances font que le temps n'est plus à l'attentisme, plus, il urge de se mettre au travail et le mieux, ce sera avec un nouvel exécutif qui bénéficiera d'un état de grâce, généralement accordé à la nouvelle équipe mise en place. Il est attendu que la composante du gouvernement ne connaîtra pas un grand chamboulement dans l'immédiat. Le chef de l'Etat procédera, il est logique, à la nomination de titulaires pour les sept ministères gérés à titre intérimaire par d'actuels membres du gouvernement depuis les dernières élections législatives. Pour le reste, certains sont déjà partants Parmi eux ceux qui gèrent les départements qui ont connu des «problèmes» durant le mois de Ramadhan, particulièrement éprouvant pour les citoyens. Il s'agit particulièrement du Commerce. D'autres sont aussi partants pour raison de santé, on parle notamment de Karim Djoudi, ministre des Finances. De nouvelles têtes vont apparaître. Il reste à savoir si elles seront puisées dans les rangs du FLN et du RND qui constituent l'alliance présidentielle. Les autres partis politiques, notamment ceux qui siègent à l'APN ont fait savoir d'ores et déjà qu'ils ne participeront pas au prochain gouvernement. En attendant, les paris sont lancés pour le poste de Premier ministre. L'ex-ministre des Travaux Publics est donné favori. Amar Ghoul a particulièrement impressionné lors des législatives de mai dernier. L'aura qu'il a récolté auprès des électeurs sera un des ses atouts et lui servira de tremplin pour les ambitions qu'il affiche déjà.
Il est annoncé un remaniement imminent du gouvernement. Il était temps si cela se traduit dans les faits. Il était annoncé depuis les élections législatives du 10 mai dernier la formation d'un nouveau gouvernement qui remplacerait celui dirigé par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Ou à tout le moins son remaniement. De par la tradition, il est convenu que le Premier ministre présente la démission de son gouvernement au président de la République, dès l'annonce par le Conseil constitutionnel des résultats des élections législatives, même si constitutionnellement rien n'oblige à le faire. Ahmed Ouyahia ne l'a pas fait. Le gouvernement est resté en place. Le président est resté muet. Il n'a pas renouvelé sa confiance au Premier ministre ou mis fin à ses fonctions et nommé une autre personne pour le remplacer. Le gouvernement partira ou ne partira pas, les spéculations n'ont pas cessé d'alimenter la chronique depuis le soir de l'annonce des résultats. Annoncé par les «salons d'Alger» à l'occasion de la double commémoration de la Fête de l'indépendance et de la jeunesse, le 5 juillet, il n'en fut rien. Ce sera après les fêtes de l'Aïd, assurent des sources. Il semble que cette fois-ci le nouvel appareil exécutif a de bonnes chances d'être installé très prochainement. On laisse entendre que c'est imminent. Le chef de l'Etat a pris tout son temps pour choisir les ministres qui composeront l'équipe gouvernementale. A-t-il pris en considération les résultats des élections législatives, là aussi rien ne l'oblige à le faire. Et personne n'est en mesure d'avancer ce que décidera le président Bouteflika. C'est qui est sûr, c'est qu'il y aura du changement. Un changement réclamé par la classe politique et le peuple algérien et l'une des initiatives les plus attendues est ce remaniement ministériel qui a trop tardé, que beaucoup d'indices prédisent pour les tout prochains jours. Un évènement majeur est attendu, début septembre. C'est la rentrée qui pointe du nez. Une rentrée marquée par l'incertitude pour de multiples raisons. Rentrées scolaire et universitaire, rentrée sociale sur fond de bouillonnement en raison d'un pouvoir d'achat largement laminé par l'inflation et la proximité d'échéances importantes comme les élections locales du 29 novembre, la loi de finances que le gouvernement doit présenter devant le Parlement qui, lui, reprendra du service le 3 septembre prochain. Toutes ces échéances font que le temps n'est plus à l'attentisme, plus, il urge de se mettre au travail et le mieux, ce sera avec un nouvel exécutif qui bénéficiera d'un état de grâce, généralement accordé à la nouvelle équipe mise en place. Il est attendu que la composante du gouvernement ne connaîtra pas un grand chamboulement dans l'immédiat. Le chef de l'Etat procédera, il est logique, à la nomination de titulaires pour les sept ministères gérés à titre intérimaire par d'actuels membres du gouvernement depuis les dernières élections législatives. Pour le reste, certains sont déjà partants Parmi eux ceux qui gèrent les départements qui ont connu des «problèmes» durant le mois de Ramadhan, particulièrement éprouvant pour les citoyens. Il s'agit particulièrement du Commerce. D'autres sont aussi partants pour raison de santé, on parle notamment de Karim Djoudi, ministre des Finances. De nouvelles têtes vont apparaître. Il reste à savoir si elles seront puisées dans les rangs du FLN et du RND qui constituent l'alliance présidentielle. Les autres partis politiques, notamment ceux qui siègent à l'APN ont fait savoir d'ores et déjà qu'ils ne participeront pas au prochain gouvernement. En attendant, les paris sont lancés pour le poste de Premier ministre. L'ex-ministre des Travaux Publics est donné favori. Amar Ghoul a particulièrement impressionné lors des législatives de mai dernier. L'aura qu'il a récolté auprès des électeurs sera un des ses atouts et lui servira de tremplin pour les ambitions qu'il affiche déjà.


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