Un point noir demeure un casse-tête pour la direction du Parc national de Gouraya : la circulation automobile.
Au printemps et pendant la saison estivale, c'est une sempiternelle procession de véhicules de tous types qui part à l'assaut de la montagne de Gouraya. Des chercheurs dans les écosystèmes, dont une équipe du CNRS de Rennes (France) ont relevé « une pollution et une nuisance sonore importantes ». Ils ont conclu « qu'en certaines périodes de l'année, les lieux n'abritent plus une réserve naturelle mais deviennent un parc d'attraction ». Le message est clair : la flore et la faune en subissent une agression mdont les répercussions sont dans un premier temps un effarouchement des espèces animales ; ce qui malencontreusement peut se traduire par une migration ailleurs. Il est peut être temps de penser à un moyen de transport unique et sans danger pour les locataires des lieux (calèches, téléphériques,').
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Posté Le : 16/03/2009
Posté par : sofiane
Ecrit par : R. O.
Source : www.elwatan.com