Algérie

Gestion approximative ES Sétif



Gestion approximative                                    ES Sétif
Le staff dirigeant de l'Entente n'étant qu'un géant aux pieds d'argile continue dans le bricolage, les contradictions et mensonges.
L'affaire Metref qui avait pourtant accepté l'offre (170 millions/mois) des ententistes est la goutte qui a fait déborder un vase trop plein. L'opinion publique doit savoir que les tergiversations des recruteurs de l'ESS ont poussé l'ex-secrétaire de la JSK, qui avait qu'on le veuille ou non donné son accord définitif pour revenir à Sétif où il est toujours estimé, a opté en fin de compte pour le MCA. Selon les dires du directeur sportif du champion en titre, «le cas Aoudia est réglé, il devait rejoindre le groupe ce mercredi». Le joueur, qui met entre parenthèses son statut de professionnel, est toujours aux abonnés absents. Pis encore, il a participé ces jours-ci à des tournois à Bab El Oued et ailleurs.
La faiblesse de la direction qui n'a pas sanctionné le joueur ayant fait l'impasse sur la fin de la saison écoulée a donné des ailes à Aoudia qui veut imposer sa loi. Le nerf de la guerre est le point de discorde entre le joueur et son employeur. Comme un malheur n'arrive jamais seul, les dirigeants qui n'ont pas jugé utile d'accompagner l'équipe à Sousse n'ont toujours pas trouvé d'épilogue au cas Cyril, qui ne veut pas d'une résiliation à l'amiable. Repêché puis libéré, le cas Zaâboub qui réclame 19,5 millions de dinars (soit 15 mois de salaire), est un autre boulet en suspens. Tout comme le cas Gourmi qui attend ses arriérés qui s'élèvent à 81 000 euros. Ce n'est pas tout, Karim Soltani qui a rejoint la capitale du Sahel n'a pas signé son contrat. Les bobards des dirigeants qui disent une chose et son contraire le lendemain en sont la cause. En perdurant, les problèmes financiers de bon nombre de joueurs toujours pas régularisés et de ces créanciers qui optent à chaque fois au blocage des comptes vont faire très mal à l'entente.
D'un côté technique, la manière de faire des éminences grises du club exaspère Velud qui ne peut et ne veut plus travailler avec deux gardiens. Pour les mêmes motifs, Nassim Belkhodja et le jeune Samer n'ont pas fait le voyage à Sousse.
Les divergences entre les deux principaux dirigeants qui ne sont pas sur la même longueur d'onde, une fois de plus, n'arrangent pas les affaires de l'Entente. Ce n'est pas le tâtonnement et l'improvisation de ses dirigeants qui vont nous contredire. Le recrutement en vrac n'ayant pas pris en considération les besoins d'une équipe ne disposant que d'un seul latéral droit (Ziti), est l'autre tare d'une formation qui avance à reculons'


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