Algérie - Revue de Presse


Les supporters désemparés La situation à laquelle est confronté le Ghali n’incite guère à l’optimisme. En effet, malgré deux rétrogradations successives, personne et particulièrement, les autorités locales compétentes ainsi les membres de l’assemblée générale dont certains conditionnent leur signature sur la fameuse liste de retrait de confiance à l’actuel président par une «prime». Eh, oui, c’est la stricte vérité alors que d’autres ne s’empêchent pas de brader les jeunes en leur faisant miroiter des pseudos primes de signature. Et tout ceci, à cause d’un président incapable de prendre ses responsabilités en prenant l’exemple sur ses homologues du SCMO, USMBA, WAM et SAM qui, malgré un parcours honorable de leur équipe, et tout particulièrement, Benaïssa Baghdad qui a réussi à remettre le club, phare, de la Mékerra à sa place, ont préféré jeter l’éponge car jugeant n’avoir pas les moyens financiers pour pouvoir faire face aux diverses dépenses d’un club. Or, en plus de cela, le patron du Ghali, malgré l’hostilité de tout le monde, s’accroche au fauteuil et pour montrer son mépris et son indifférence quant à l’avenir du club, a déclaré organiser l’assemblée générale ordinaire que le 31/12/2006. Or, les uns et les autres savent, pertinemment, que la présentation du bilan, moral et financier, est inutile car la rétrogradation commanditée par des personnes connues de tous, les scandales financiers ainsi que les magouilles ayant trait à la vente de matchs sont un secret de polichinelle. La seule alternative pour sauver le Ghali, c’est un changement radical de toute sa composante administrative. Cela permettra aux divers postulants notamment les Smahi Mustapha, avocat, Aït Mokhtar Samir, hommes d’affaires, Hadj Habibi, ex-sénateur, qui ont manifesté, officiellement, leur désir de prendre le Ghali, de présenter leur programme de sauvetage. A noter que les uns et les autres ont promis que lors d’une probable tenue d’une AG élective, ils déposeront sur la table des somme faramineuses. La balle est donc entre les mains de Si Hadj Baâtouche pour prendre une décision sage et utile pour la survie du club et ceci lui permettra de sortir par la grande porte au lieu d’y être poussé. D’ailleurs, les supporters se demandent sur quels moyens financiers compte-il pour régulariser les divers créanciers de la saison écoulée, à savoir les joueurs, le staff administratif et technique des jeunes, le transport, les restaurateurs etc. Et ceci, sans parler du démarrage de la nouvelle saison dont le recrutement et autres, sont au point mort pour les raisons évoquées plus haut.


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