On croyait qu'avec la réalisation de marchés de proximité pour les marchands de fruits et légumes à travers les communes de Sougueur, Frenda et Tiaret, l'informel allait être circonscrit et éradiqué après la distribution de locaux soigneusement aménagés, mais voilà que les marchands rechignent à intégrer les nouveaux espaces mis à leur disposition.La situation reste préjudiciable pour ceux qui ont fait l'effort d'occuper l'espace en y injectant même quelques subsides quand d'autres marchands préfèrent squatter les trottoirs et surtout rester au niveau du lieudit «Sbika». Les conséquences restent désastreuses pour ceux qui sont inscrits dans la légalité alors que d'autres continuent de défier les autorités. Cerise sur le gâteau, les marchands de l'informel en sont arrivés à bénéficier des avantages liés à leur proximité avec la gare routière qui leur déverse une clientèle friande car peu regardante sur l'hygiène et la sécurité. Le problème a fait réagir les marchands de la «cité CADAT». Ces derniers, qui ont fait d'incessants appels aux responsables, exigent «la délocalisation des marchands de l'informel» et, le cas échéant, «exclure ceux qui ne voudraient pas rejoindre les locaux qu'on leur a affectés». Est-ce que cet appel sera écouté '
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Posté Le : 31/03/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Fawzi Amellal
Source : www.elwatan.com