Algérie

Front social : ça chauffe


Les secteurs de l'Energie, l'Enseignement supérieur et le transport aérien sont n ébullition. Une menace de grève générale est annoncée durant cemois.Les secteurs de l'Energie, l'Enseignement supérieur et le transport aérien sont n ébullition. Une menace de grève générale est annoncée durant cemois.
Dans la perspective d'une menace d'un débrayage, les secteurs concernés observent un malaise persistant depuis des jours. Pour le transport aérien, ce sont les travailleurs de la maintenance qui tentent depuis des jours de négocier une plate-forme de revendications soumises au ministère de tutelle.
Le point central touche à l'amélioration des conditions socio-professionnelles de cette catégorie de travailleurs. Dans sa tentative d'apaisement, le P-DG de l'entreprise n'a pas réussi à faire fléchir le syndicat des maintenanciers à surseoir à leur menace de grève. Ces jours-ci, le ministre des Transports va sortir de sa réserve pour initier un dialogue avec les travailleursde la maintenance dont le risque de grève va paralyser les aéroports. Même topo chez les étudiants où certaines organisations estudiantines ont fait savoir qu'une grève générale sera conduite le 14 de ce mois. Les organisations dont l'UGEL ont fait savoir que « l'université sera paralysée au cours de la grève qui sera maintenue à la date précisée ». Le ministre de l'Enseignement supérieur Abdelkader Hadjar a refusé dans une déclaration à la presse « le recours à cette grève qui n'a aucune légitimité ».
Pis encore, il a menacé les grévistes de « sanctions » et que selon lui il « n'existe actuellement que 9 organisations estudiantines reconnues » faisant allusion à certains regroupements anarchiques parmi la corporation. De son côté, le porte-parole de l'UGEL Salah Daouadji a estimé dans une déclaration publique que « la grève et le sit-in seront conduits d'une manière pacifique dans la plupart des enceintes universitaires »mais du reste, le porteparole considère que "l'organisation reste disposée pour un dialogue avec la tutelle".
Pour ce qui est du secteur de l'Energie, c'est principalement le syndicat de Sonelgaz (SNATEG) qui maintient sa marche au niveau de la Grandeposte à Alger où jusquelà aucune notification pour un dialogue avec le ne leur a été adressée. Le Snapap s'est montré solidaire avec cette initiative en rappelant les engagements de l'Etat garantir le droit de grève et la liberté syndicale. Si les autres secteurs restent pour le moment en berne, c'est la réaction de fureur qui gronde parmi les travailleurs du secteur économique qui risque de les mettre en ébullition sachant que certaines revendications n'ont pas été jusque-là satisfaites.
Dans la perspective d'une menace d'un débrayage, les secteurs concernés observent un malaise persistant depuis des jours. Pour le transport aérien, ce sont les travailleurs de la maintenance qui tentent depuis des jours de négocier une plate-forme de revendications soumises au ministère de tutelle.
Le point central touche à l'amélioration des conditions socio-professionnelles de cette catégorie de travailleurs. Dans sa tentative d'apaisement, le P-DG de l'entreprise n'a pas réussi à faire fléchir le syndicat des maintenanciers à surseoir à leur menace de grève. Ces jours-ci, le ministre des Transports va sortir de sa réserve pour initier un dialogue avec les travailleursde la maintenance dont le risque de grève va paralyser les aéroports. Même topo chez les étudiants où certaines organisations estudiantines ont fait savoir qu'une grève générale sera conduite le 14 de ce mois. Les organisations dont l'UGEL ont fait savoir que « l'université sera paralysée au cours de la grève qui sera maintenue à la date précisée ». Le ministre de l'Enseignement supérieur Abdelkader Hadjar a refusé dans une déclaration à la presse « le recours à cette grève qui n'a aucune légitimité ».
Pis encore, il a menacé les grévistes de « sanctions » et que selon lui il « n'existe actuellement que 9 organisations estudiantines reconnues » faisant allusion à certains regroupements anarchiques parmi la corporation. De son côté, le porte-parole de l'UGEL Salah Daouadji a estimé dans une déclaration publique que « la grève et le sit-in seront conduits d'une manière pacifique dans la plupart des enceintes universitaires »mais du reste, le porteparole considère que "l'organisation reste disposée pour un dialogue avec la tutelle".
Pour ce qui est du secteur de l'Energie, c'est principalement le syndicat de Sonelgaz (SNATEG) qui maintient sa marche au niveau de la Grandeposte à Alger où jusquelà aucune notification pour un dialogue avec le ne leur a été adressée. Le Snapap s'est montré solidaire avec cette initiative en rappelant les engagements de l'Etat garantir le droit de grève et la liberté syndicale. Si les autres secteurs restent pour le moment en berne, c'est la réaction de fureur qui gronde parmi les travailleurs du secteur économique qui risque de les mettre en ébullition sachant que certaines revendications n'ont pas été jusque-là satisfaites.
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