Algérie

Fronde au FLN



Au sein de certaine formations politiques des informations concordantes font état de grandissants mécontentements et les étatsmajors sont particulièrement visés par ces frondes encore latentes mais qui menacent de prendre de l'ampleur dans un proche avenir.Au sein de certaine formations politiques des informations concordantes font état de grandissants mécontentements et les étatsmajors sont particulièrement visés par ces frondes encore latentes mais qui menacent de prendre de l'ampleur dans un proche avenir.
Le parti du Front de libération nationale (FLN) fait partie de ce lot de partis ou, diton, la colère est en train de monter de plusieurs crans. Selon ces mêmes informations la principale cible de cette sourde fronde n'est autre que le secrétaire général de ce parti, Abou El Fadl Baadji. Ce dernier ne fait plus l'unanimité et ses détracteurs agissent désormais dans les coulisses dans l'objectif de l'évincer de la tète du parti. En effet, à en croire certaines sources des membres influents du parti ne serait plus d'accord avec sa démarche. Pour ce faire les détracteurs de celui qui a succédé à Djamel OuldAbbès espère arriver à leurs fins et pouvoir réunir la plus haute instance entre deux congrès, à savoir le comité central (CC). En effet, c'est ce dernier organe qui a le pouvoir de designer le secrétaire général ou de l'évincer. Au sein des frondeurs l'on retrouve, selon certaines sources, des membres de cette instance suprême du parti ainsi que des membres du bureau politique, la plus haute instance exécutive de l'ex-parti unique. A travers cette initiative les détracteurs d'Abou El Fadl Baadji seraient passé à la vitesse supérieure pour collecter les signatures des membres du CC. Les détracteurs auront besoin des deux tiers des signatures des membres du CC pour atteindre le quorum nécessaire et légal pour la tenue d une session extraordinaire du CC. Les opposants à Baadji lui reprochent d'avoir marginalises de nombreux cadres du parti et de faire cavalier seul dans la prise de décision. Il est vrai qu'Abou El Fadl Baadji a entamé depuis quelques temps déjà une vaste campagne à l'effet de placer des hommes qui lui sont fidèles dans les centres de décision en vue de consolider sa mainmise sur l'appareil du parti. Rappelons, dans ce contexte, qu'un peu plus d'un trimestre après son intronisation à la tête du vieux parti, le nouveau chef de file du parti est passé à l'offensive en vue de consolider son pouvoir. Il a ainsi procédé au limogeage de très nombreux cadres qui se recrutent notamment au niveau local.
Ainsi, des dizaines de cadres, des mouhafadhs ont été limogés et remplacés par des hommes de confiance. C'est une "véritable purge" a alors estimé un ancien dirigeant de l'ex-parti unique. Ces cadres au niveau local ont été, pour rappel, désignés dans leur fonction par les précédentes directions du parti.Certains étaient en poste depuis l'époqueoù Djamel Ould Abbès, actuellement en prison et sur lequel pèse de lourdes charges relatives à la corruption, était à la tête du secrétariat général. En passant à la vitesse supérieure pour faire le grand ménage dans les structures locales du parti, la nouvelle équipe dirigeante a pour ambition d'avoir les coudées franches pour mener à bien ce qu'elle qualifie de "renouveau et de redynamisation" du parti en vue de lui donner une nouvelle image et redorer ainsi son blason au sein de l'opinion publique. Apparemment Abou El Fadl Baadji est allé loin dans cette démarche au point de susciter des mécontentements et de pousser de nombreux cercles au sein du parti, soucieux de préserver leur influence sur l'appareil, à vouloir s'opposer à cette politique. Ce rififi au sein de l'ex-parti unique intervient alors que la scène politique bouillonne et ce dans la perspective de la tenue des élections législatives et localesdans quelques mois seulement. Ce sontsans doute ces échéances politiques qui expliqueraient ce regain d'opposition au secrétaire général.
Le parti du Front de libération nationale (FLN) fait partie de ce lot de partis ou, diton, la colère est en train de monter de plusieurs crans. Selon ces mêmes informations la principale cible de cette sourde fronde n'est autre que le secrétaire général de ce parti, Abou El Fadl Baadji. Ce dernier ne fait plus l'unanimité et ses détracteurs agissent désormais dans les coulisses dans l'objectif de l'évincer de la tète du parti. En effet, à en croire certaines sources des membres influents du parti ne serait plus d'accord avec sa démarche. Pour ce faire les détracteurs de celui qui a succédé à Djamel OuldAbbès espère arriver à leurs fins et pouvoir réunir la plus haute instance entre deux congrès, à savoir le comité central (CC). En effet, c'est ce dernier organe qui a le pouvoir de designer le secrétaire général ou de l'évincer. Au sein des frondeurs l'on retrouve, selon certaines sources, des membres de cette instance suprême du parti ainsi que des membres du bureau politique, la plus haute instance exécutive de l'ex-parti unique. A travers cette initiative les détracteurs d'Abou El Fadl Baadji seraient passé à la vitesse supérieure pour collecter les signatures des membres du CC. Les détracteurs auront besoin des deux tiers des signatures des membres du CC pour atteindre le quorum nécessaire et légal pour la tenue d une session extraordinaire du CC. Les opposants à Baadji lui reprochent d'avoir marginalises de nombreux cadres du parti et de faire cavalier seul dans la prise de décision. Il est vrai qu'Abou El Fadl Baadji a entamé depuis quelques temps déjà une vaste campagne à l'effet de placer des hommes qui lui sont fidèles dans les centres de décision en vue de consolider sa mainmise sur l'appareil du parti. Rappelons, dans ce contexte, qu'un peu plus d'un trimestre après son intronisation à la tête du vieux parti, le nouveau chef de file du parti est passé à l'offensive en vue de consolider son pouvoir. Il a ainsi procédé au limogeage de très nombreux cadres qui se recrutent notamment au niveau local.
Ainsi, des dizaines de cadres, des mouhafadhs ont été limogés et remplacés par des hommes de confiance. C'est une "véritable purge" a alors estimé un ancien dirigeant de l'ex-parti unique. Ces cadres au niveau local ont été, pour rappel, désignés dans leur fonction par les précédentes directions du parti.Certains étaient en poste depuis l'époqueoù Djamel Ould Abbès, actuellement en prison et sur lequel pèse de lourdes charges relatives à la corruption, était à la tête du secrétariat général. En passant à la vitesse supérieure pour faire le grand ménage dans les structures locales du parti, la nouvelle équipe dirigeante a pour ambition d'avoir les coudées franches pour mener à bien ce qu'elle qualifie de "renouveau et de redynamisation" du parti en vue de lui donner une nouvelle image et redorer ainsi son blason au sein de l'opinion publique. Apparemment Abou El Fadl Baadji est allé loin dans cette démarche au point de susciter des mécontentements et de pousser de nombreux cercles au sein du parti, soucieux de préserver leur influence sur l'appareil, à vouloir s'opposer à cette politique. Ce rififi au sein de l'ex-parti unique intervient alors que la scène politique bouillonne et ce dans la perspective de la tenue des élections législatives et localesdans quelques mois seulement. Ce sontsans doute ces échéances politiques qui expliqueraient ce regain d'opposition au secrétaire général.


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