Joyeuses Pâques à tous mes compatriotes chrétiens et à toute la communauté chrétienne d'Algérie.Il est là, tout résumé, le règne du Bouteflika-Band. Dans ce traître de Saâdani parti se réfugier dans les jupons de Momo 6 et du Makhzen. Il est dans la promotion élevée au rang de mode de gouvernance d'une engeance de bas-fonds. De parvenus. De voyous sans envergure, habillés à la hâte de costume et de première responsabilité à la tête du FLN et de l'APN. Minable pompiste, hacha les travailleurs honorables de Naftal, ce triste sire a été un moment, un long moment porte-parole et porte-flingue de Abdelaziz, puis de Saïd. Il a émis des sentences à l'encontre de Toufik et les services de sécurité du pays. Il a craché sur le Polisario. Et l'on comprend mieux qu'il se soit trouvé comme point de chute le Maroc. Le rat tourne, tournoie, creuse, furète dans les poubelles plus ou moins garnies de Neuilly-sur-Seine, puis revient dans son trou. Wallah qu'à la limite, son sort, celui d'une insignifiance historique m'importe peu, au fond. Il finira à sa dimension. C'est-à-dire mal et en rien ! Par contre, il m'importe au plus haut point d'interroger la possibilité qui a été donnée à cet ignoble personnage d'accéder à de si hautes responsabilités. À des arcanes supposés sacrés. Et qu'on arrête de se protéger derrière l'argument de plus en plus fallacieux qui consiste à dire « on ne doit pas juger Bouteflika ! Dans son état, ça le victimiserait encore plus ! » Foutaises ! La seule victime aujourd'hui, c'est la Dézédie ! Son ancien patron du parti historique et de l'Assemblée est aux mains et aux questions du Makhzen. Je suis scandalisé par le fait que cette information-là, juste cette info donnée par le Soir d'Algérie ne suscite pas plus de réactions. Des parties, des gens, et à leur tête l'« émir d'Oujda Les-Deux-Mosquées » et son prince de frère doivent répondre de cette dérive insupportable. Je n'ai pas souvenir d'un passage à l'Ouest d'une « pointure » pareille. Que de petits déserteurs de l'armée aient tenté de se réfugier au Maroc, que des tangos à bout de souffle vénéneux y aient élu domicile un temps, oui ! Mais jamais un traître avec une aussi grosse double casquette, le FLN et l'APN. Je n'ose imaginer ce que le rat dégurgite aujourd'hui devant les caméras, micros et mines hilares des services marocains. Je le répète : lui n'est qu'un chaînon rouillé, trempé à la trouille. Le Grand Ordonnateur de toute cette déchéance est par contre chez nous. En nos murs ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
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Posté Le : 05/04/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Hakim Laâlam
Source : www.lesoirdalgerie.com