En l'absence de points de vente dédiés aux articles scolaires et de prix subventionnés par l'Etat, l'activité en question est soumise à toutes sortes de spéculation.La rentrée scolaire met le budget familial devant une nouvelle rude épreuve. Cette année, les citoyens n'ont que le choix d'acheter cher les affaires scolaires de leurs enfants.
Par le passé, les petites et moyennes bourses recourent à l'informel pour constituer à moindre coût le trousseau scolaire de leur progéniture. Pour cette rentrée des classes, les prix sont quasiment les mêmes, dans les librairies ou dans les marchés anarchiques.
«Parfois, ils sont encore plus chers chez les trabendistes», nous assure un père de famille. «J'achète par article. Dès que je tombe sur un vendeur qui propose un produit ou deux à quelques dinars de moins, j'en profite...», raconte un parent de 5 enfants scolarisés, simple employé de son état.
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Posté Le : 13/09/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Djamel G
Source : www.elwatan.com