Algérie

Forte inquiétude des pays occidentaux Après l'approbation du référendum sur la dette en Grèce


Forte inquiétude des pays occidentaux                                    Après l'approbation du référendum sur la dette en Grèce
Alors que le gouvernement grec soutient le référendum sur le plan de sauvetage en approuvant "à l'unanimité" le projet de référendum annoncé par le Premier ministre, Georges Papandréou, les pays occidentaux s'inquiètent quant à un éventuel échec susceptible de provoquer une grave crise et un désastre économique sans précédent en Grèce.
Cependant, un vote de confiance du parlement est nécessaire pour entériner le décision du gouvernement.
Papandréou, qui ne dispose plus que de deux voix de majorité au Parlement, était présent à Cannes, hier, où il devait rencontrer la chancelière allemande Angela Merckel et le président français, Nicolas Sarkozy, ainsi que ceux de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI) qui ont, d'ores et déjà apporté leur soutien au projet de Papandréou.
Le ministre japonais des Finances estime''troublante'' la décision de Papandréou
Le ministre japonais des Finances, Jun Azumia a jugé "troublante", hier, la décision du Premier ministre grec, Georges Papandréou, d'organiser un référendum sur le plan européen de sauvetage du pays. "L'annonce abrupte de la Grèce sur l'organisation d'un référendum, qui n'était pas incluse (dans l'accord européen), est troublante", a estimé Jun Azumi lors d'une conférence de presse. Le ministre a précisé que ce sujet serait débattu lors du sommet des dirigeants des pays développés et émergents du G20, jeudi et vendredi à Cannes (sud-est de la France).
Le sommet du G 20 est une dernière aubaine pour tenter de sauver l'économie grecque de la banqueroute financière afin d'éviter un krach de la monnaie unique européenne.
Le chef du gouvernement grec, Georges Papandréou, a créé la surprise en annonçant, lundi soir, la tenue d'un référendum dans son pays sur l'accord européen de sauvetage de la Grèce, difficilement conclu à l'issue d'un sommet des dirigeants de la zone euro le 27 octobre.
Les Bourses occidentales ont chuté, mardi, de crainte que le plan ne soit rejeté. Cet accord prévoit que les banques créancières de la Grèce acceptent de réduire de moitié la valeur des obligations de dette grecque qu'elles détiennent, la poursuite du soutien financier des Etats européens à la Grèce, écrasée par sa dette et par la récession causée par les plans d'austérité successifs, et un renforcement du Fonds de secours de la zone euro (FESF), selon les agences de presse.
En échange, il prévoit un renforcement du contrôle des créanciers sur la marche budgétaire du pays, une accélération du programme de privatisations et la poursuite des sévères mesures d'austérité débutées en 2010.
Troisième puissance économique mondiale et deuxième plus important détenteur mondial de devises, le Japon a acheté quelque 20% du montant total des emprunts émis par le FESF depuis le début de l'année.
Le sauvetage de la zone euro est une bouée de sauvetage pour la monnaie japonaise qui continue de se consolider sachant qu'elle est certaine et une garantie pour les investisseurs internationaux en temps de crise.
Son gouvernement se dit prêt à continuer d'acheter ces bons si l'Europe met au point un plan de sortie crédible de sa crise financière. Les autorités nippones sont préoccupées par ces turbulences qui ont entraîné une flambée historique du yen, considéré comme une valeur refuge par les investisseurs en temps de crise.
Le gouvernement a été contraint, lundi, d'intervenir directement sur le marché des changes, pour la quatrième fois en un peu plus d'un an, pour vendre massivement des yens afin d'en affaiblir la valeur.
L'avenir de l'euro dépend, donc, de la solution adéquate à trouver pour la dette de la Grèce qui risque de contaminer l'Italie, l'Espagne et le Por tugal.
Alors que le gouvernement grec soutient le référendum sur le plan de sauvetage en approuvant "à l'unanimité" le projet de référendum annoncé par le Premier ministre, Georges Papandréou, les pays occidentaux s'inquiètent quant à un éventuel échec susceptible de provoquer une grave crise et un désastre économique sans précédent en Grèce.
Cependant, un vote de confiance du parlement est nécessaire pour entériner le décision du gouvernement.
Papandréou, qui ne dispose plus que de deux voix de majorité au Parlement, était présent à Cannes, hier, où il devait rencontrer la chancelière allemande Angela Merckel et le président français, Nicolas Sarkozy, ainsi que ceux de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI) qui ont, d'ores et déjà apporté leur soutien au projet de Papandréou.
Le ministre japonais des Finances estime''troublante'' la décision de Papandréou
Le ministre japonais des Finances, Jun Azumia a jugé "troublante", hier, la décision du Premier ministre grec, Georges Papandréou, d'organiser un référendum sur le plan européen de sauvetage du pays. "L'annonce abrupte de la Grèce sur l'organisation d'un référendum, qui n'était pas incluse (dans l'accord européen), est troublante", a estimé Jun Azumi lors d'une conférence de presse. Le ministre a précisé que ce sujet serait débattu lors du sommet des dirigeants des pays développés et émergents du G20, jeudi et vendredi à Cannes (sud-est de la France).
Le sommet du G 20 est une dernière aubaine pour tenter de sauver l'économie grecque de la banqueroute financière afin d'éviter un krach de la monnaie unique européenne.
Le chef du gouvernement grec, Georges Papandréou, a créé la surprise en annonçant, lundi soir, la tenue d'un référendum dans son pays sur l'accord européen de sauvetage de la Grèce, difficilement conclu à l'issue d'un sommet des dirigeants de la zone euro le 27 octobre.
Les Bourses occidentales ont chuté, mardi, de crainte que le plan ne soit rejeté. Cet accord prévoit que les banques créancières de la Grèce acceptent de réduire de moitié la valeur des obligations de dette grecque qu'elles détiennent, la poursuite du soutien financier des Etats européens à la Grèce, écrasée par sa dette et par la récession causée par les plans d'austérité successifs, et un renforcement du Fonds de secours de la zone euro (FESF), selon les agences de presse.
En échange, il prévoit un renforcement du contrôle des créanciers sur la marche budgétaire du pays, une accélération du programme de privatisations et la poursuite des sévères mesures d'austérité débutées en 2010.
Troisième puissance économique mondiale et deuxième plus important détenteur mondial de devises, le Japon a acheté quelque 20% du montant total des emprunts émis par le FESF depuis le début de l'année.
Le sauvetage de la zone euro est une bouée de sauvetage pour la monnaie japonaise qui continue de se consolider sachant qu'elle est certaine et une garantie pour les investisseurs internationaux en temps de crise.
Son gouvernement se dit prêt à continuer d'acheter ces bons si l'Europe met au point un plan de sortie crédible de sa crise financière. Les autorités nippones sont préoccupées par ces turbulences qui ont entraîné une flambée historique du yen, considéré comme une valeur refuge par les investisseurs en temps de crise.
Le gouvernement a été contraint, lundi, d'intervenir directement sur le marché des changes, pour la quatrième fois en un peu plus d'un an, pour vendre massivement des yens afin d'en affaiblir la valeur.
L'avenir de l'euro dépend, donc, de la solution adéquate à trouver pour la dette de la Grèce qui risque de contaminer l'Italie, l'Espagne et le Por tugal.
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