FORMEE PAR L'ESJ PARIS ET L'IFIRST Sortie de la première promotion en mastère 1 en journalisme

La première promotion de diplômées en mastère 1 en journalisme en Algérie comprend quatre étudiantes en l'honneur desquelles une sympathique cérémonie a été organisée, hier mercredi, à l'hôtel Saint-George à Alger.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Leur formation a duré douze mois et a été assurée par l'Institut de formations internationales et de recherches en sciences et techniques de Dély Ibrahim, une école privée algérienne qui est liée, depuis une année, par un contrat de partenariat avec la prestigieuse Ecole supérieure de journalisme de Paris qui est la plus grande école en la matière au monde. Son nouveau président, M Guillaume Jobin, a d'ailleurs coprésidé la cérémonie avec la directrice de l'IFIRST, Mme Magra. «Nous avons choisi l'IFIRST parce que nous avons estimé que ce sont des gens professionnels. Pas dans le journalisme mais dans le domaine de l'enseignement. Aussi, le journaliste pour nous, doit être indépendant et donc formé par un organisme privé et non pas par l'Etat, même si j'ai rien contre l'école publique», nous dira le président de l'ESJ en marge de la cérémonie. Il faut préciser que l'ESJ n'a accepté de signer la convention avec la partie algérienne qu'à la condition que l'IFIRST dispense le même programme que celui qu'elle-même dispense en France. En contrepartie, les diplômes, les certificats de scolarité ainsi que les cartes d'étudiant sont délivrés directement par l'ESJ Paris et les diplômes en question sont tous reconnus par le ministère français de l'Education et à l'échelle internationale. Seulement, il faut préciser que cette formation est payante. Ainsi, pour un mastère 1 obtenu en Algérie, l'étudiant doit payer 300 000 DA. Pour un mastère 2, la formation, dispensée en France celle-là, revient à pas moins de 5 000 euros.