Algérie

Fonction publique



Fonction publique
Les licenciés en sciences infirmières, diplômés de l'université Abderrahmane Mira de Béjaïa, reviennent à la charge.Constitués en collectif, ils viennent d'interpeller, par une correspondance, le Premier ministre Abdelmalek Sellal, qu'ils prient «de bien vouloir apporter des solutions concernant la reconnaissance de (leur) diplôme et son intégration au Journal officiel.» Créée en 2011, cette filière a fait couler beaucoup d'encre après que la première promotion des diplômés a constaté le rejet des attestations de réussite par la Fonction publique. Après plusieurs mouvements de grève, les contestataires ont fini par obtenir un écrit du ministère de l'Enseignement supérieur, de celui de la Santé ainsi que de la direction générale de la Fonction publique promettant la reconnaissance de leur titre.Cependant, rien n'a changé sur le terrain. «Nous ne pouvons pas exercer notre profession ni dans le corps étatique ni dans le secteur privé», écrivent les licenciés en sciences infirmières dans leur lettre, tout en rappelant que leur branche, «relevant alors de la faculté de médecine, nécessitait une moyenne d'accès minimum de 13.50 et nous avons été encadrés par des maîtres-assistants et des professeurs pendant un cursus de trois années et une moyenne de 2160 heures de stage effectuées au centre hospitalo-universitaire Khellil Amrane de Béjaïa».




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