Si les prix des produits de première nécessité, comme la semoule, le sucre, le lait et les légumes secs, connaissent une majoration excessive depuis quelque temps, ceux des fruits et légumes ne sont pas en reste.Ces produits affichent une hausse inexpliquée, et ce, malgré leur disponibilité en quantité en cette période printanière. A titre d'exemple, la pomme de terre est passée de 30 DA à 55 DA, tandis que la tomate est cédée à 70 DA le kilo, même chose pour l'ail, la carotte, l'oignon, le poivron, la courgettes, la salade, le citron et les petits pois. Quant aux fruits, ils sont devenus pratiquement inaccessibles, même pour les bourses moyennes. Leurs prix ont grimpé ces derniers jours. La pomme est ainsi cédée à 300 DA/ kg, l'orange thomson à 300 DA/kg, la fraise à 290 DA/kg, la banane est montée brusquement à 210 DA/kg. La pastèque, quant à lui, s'adjuge à 150 DA/kg. Quant aux viandes rouges, leur tarification est exorbitante. Elle laisse le consommateur dans l'expectative avec des prix affichés entre 1 100 et 1 200 DA le kg. Face à ce qui parait être la folie des prix, le consommateur reste dubitatif. Il ressort que de ces augmentations inexpliquées, ce sont certains mandataires véreux qui tirent profit de toutes les situations d'offre et demande imposant leur dicktat.
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Posté Le : 15/04/2016
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : A R
Source : www.lnr-dz.com