Financement Du Système De Santé Algérien

Le financement du système de santé algérien est assuré principalement par l’Etat et les organismes de sécurité sociale et les usagers ou ménages. Avant 1974, le financement de la santé provient pour 60% de l’Etat pour la prise en charge des plus démunis de la population, 30% par la caisse de sécurité sociale pour leurs affiliés et 10% par les usagers eux-mêmes. Une contribution des usagers ou ménages a été fixée depuis 1995, d’une manière symbolique au financement des frais de consultation et de séjour en milieu hospitalier. Sur la base des informations suscitées, l’Algérie se situe en 2014 au-dessous des taux des pays européens et nettement au-dessus des ressources allouées à la santé dans les pays sous-développés.