Algérie

Fin de mission pour Coulibaly



Quand l'arbitre malien, Coulibaly Koman, a eu l'occasion d'imposer sa démarche (stratégie) disciplinaire sur le plan autoritaire aux joueurs sur le terrain au tout début du match (les premières secondes), qui a opposé Américains et Slovènes, ouvert à tous les pronostics, surtout pour une évidente faute, au moment où l'Américain saute en assenant un coup au visage du Slovène, à l'aide de l'avant-bras, et il ne l'a pas fait, c'est que cet arbitre finira son match dans de beaux draps.Il est tout à fait clair que notre arbitre a véritablement manqué de concentration et de flair en ce qui concerne les actions disputées dans les espaces réduits et en l'air, semant le doute sur son précédent savoir-faire. Très loin sur les actions combinées dans les derniers retranchements des lignes de démarcation de fond, malgré qu'il est de ce continent (africain) natif, impuissant à sévir (sanctionner) les écarts, les contestations (souvent légitimes) et particulièrement les fauchages évidents, d'où le constat qu'il a été passif et moins attentif, mais la question qui brûle les lèvres de tous les observateurs est la suivante : le troisième but marqué par les Américains et refusé (à tort) pour quel motif ' De toutes les manières, M. Coulibaly a raté son entrée en matière par un arbitrage assimilé à une course en arrière, mettant en péril sa jeune carrière, et pour la suite du parcours le train s'arrête, ils (les membres de la commission des arbitres de la FIFA) ont baissé la barrière.


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