Fin de cavale pour Ouekria, Douara, l'Ethiopien, Japonais... Ils seraient derrière l'agression à Oran de trois Français

Ouekria, Douara, l'éthiopien et Japonais seraient derrière plusieurs attaques à l'arme blanche perpétrées contre des citoyens dans les quartiers d'Oran. Parmi les victimes de la bande figurent trois Français lesquels ont été agressés dans la forêt Moulay- Abdelkader.Ouekria, Douara, l'éthiopien et Japonais seraient derrière plusieurs attaques à l'arme blanche perpétrées contre des citoyens dans les quartiers d'Oran. Parmi les victimes de la bande figurent trois Français lesquels ont été agressés dans la forêt Moulay- Abdelkader.
Ainsi les gendarmes d'Oran viennent de neutraliser ce dangereux groupe recherché depuis deux mois. Les agresseurs au nombre de huit, dont deux repris de justice, ciblaient leurs victimes sur les lieux de détente.
Les investigations menées par les gendarmes ont conduit à l'interpellation des mis en cause, dont deux étaient en possession d'une quantité de kif traité destinée à la consommation. Au cours de l'enquête, les gendarmes ont récupéré un appareil à photo numérique et un téléphone portable, volés à l'un des ressortissants français, alors qu'il était en compagnie de son épouse et de sa fille, en promenade à la forêt Moulay Abdelkader.
Les huit mis en cause ont été présentés hier devant le procureur de la République près le tribunal d'Oran pour association de malfaiteurs, détention et commercialisation de stupéfiants, vol qualifié et recel et coups et blessures volontaires avec armes blanches, dont ont été victimes quatre citoyens ainsi qu'un ressortissant français en activité à Oran avec son épouse et sa fille.
Sept des mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt alors que le huitième a été laissé en liberté provisoire. Le dossier sera examiné par la chambre d'accusation près la cour de juridiction d'Oran. Les mis en cause risquent d'être traduits devant le tribunal criminel d'Oran pour répondre des graves accusations retenues à leur encontre au cours de l'enquête préliminaire et de l'instruction judiciaire.
Ainsi les gendarmes d'Oran viennent de neutraliser ce dangereux groupe recherché depuis deux mois. Les agresseurs au nombre de huit, dont deux repris de justice, ciblaient leurs victimes sur les lieux de détente.
Les investigations menées par les gendarmes ont conduit à l'interpellation des mis en cause, dont deux étaient en possession d'une quantité de kif traité destinée à la consommation. Au cours de l'enquête, les gendarmes ont récupéré un appareil à photo numérique et un téléphone portable, volés à l'un des ressortissants français, alors qu'il était en compagnie de son épouse et de sa fille, en promenade à la forêt Moulay Abdelkader.
Les huit mis en cause ont été présentés hier devant le procureur de la République près le tribunal d'Oran pour association de malfaiteurs, détention et commercialisation de stupéfiants, vol qualifié et recel et coups et blessures volontaires avec armes blanches, dont ont été victimes quatre citoyens ainsi qu'un ressortissant français en activité à Oran avec son épouse et sa fille.
Sept des mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt alors que le huitième a été laissé en liberté provisoire. Le dossier sera examiné par la chambre d'accusation près la cour de juridiction d'Oran. Les mis en cause risquent d'être traduits devant le tribunal criminel d'Oran pour répondre des graves accusations retenues à leur encontre au cours de l'enquête préliminaire et de l'instruction judiciaire.