Pour le Front des forces socialistes (FFS) c'est vraiment l'heure de vérité s'agissant de sa participation ou non aux prochaines élections anticipées du 27 novembre.Pour le Front des forces socialistes (FFS) c'est vraiment l'heure de vérité s'agissant de sa participation ou non aux prochaines élections anticipées du 27 novembre.
En effet, le plus vieux parti d'oppositions est appelé à trancher sur la conduite à avoir pour ce scrutin ; c'est en cela que la session extraordinaire de son conseil national, prévue demain vendredi, revêt une importance cruciale ! Les membres de la plus haute instance entre deux congrès devront ainsi dire si oui ou non le parti cher au défunt Hocine Aït Ahmed ira à cette élection : selon des sources proches du parti la bataille risque d'être très serrée entre les partisans de la participation et ceux qui sont ouvertement contre cette option. Chaque camp tentera ainsi de peser de toutes ses forces pour faire pencher la balance en sa faveur et cela risque d 'être assez compliqué tant les avis semblent très éloignées : Les arguments que présentera chaque camp sont connus ; pour ceux qui militent pour la participation le FFS ne peut se permettre de déserter le terrain pour le laisser libre à d'autres forces politiques : Selon les arguments de ce camp, l'enjeu des élections locales diffère de celui des élections législatives : lors de ces dernières élections, tenues le 12 juin dernier, le parti du FFS a décidé, pour rappel, de ne pas participer. Pour les tenants de l'option de participation, l'enjeu est d'occuper le terrain local pour être ainsi très proche des populations et de leurs préoccupations.
Il en est autrement des partisans du boycott qui clament que la participation ne sert pas les intérêts du parti : pour eux en effet, la participation du ffs servira juste d'alibi démocratique pour le pouvoir comme cela est d'ailleurs le cas pour toutes les élections organisées ces dernières années : En d'autres termes ce seront des élections « fermées » ou les partisans du pouvoir vont avoir toutes les chances et les conditions pour cela afin de remporter ces élections ; Mais l'argument massue de cette tendance qui plaide pour le boycott reste incontestablement l'attitude des militants et cadres du parti ; Cette tendance pense ainsi que la majorité des cadres et des militants n'est pas en faveur de la participation. Mais qu'à cela ne tienne le FFS devra trancher coute que coute car le temps presse. Rappelons que lors de la précédente élection, celle des législatives anticipées du 12 juin, le parti n'a pas pris part à ce rendez-vous électoral.
En plus du FFS d'autres partis ont pris la même position à l'exemple du RCD , du parti des travailleurs pour ne citer que ces formations politiques. Les partis politiques qui se disent en faveur du hirak ont décidé de boycotter les législatives qui ont été remportées par les partisans du président de la République Abdelmadjid Tebboune. Le FLN, le RND , le front El Moustakbal et les indépendants ont en effet remporté la majorité des sièges disposant ainsi l'APN formant ainsi une solide majorité présidentielle ; D'autres partis politiques comme le RCD ou le parti des travailleurs n'ont pas encore pris de décision s'agissant de leur participation ou non au scrutin du 27 novembre ; C'est dire que la décision du FFS est très attendue non seulement par ses propres militants, mais aussi et surtout par les autres partis politiques.
En effet, le plus vieux parti d'oppositions est appelé à trancher sur la conduite à avoir pour ce scrutin ; c'est en cela que la session extraordinaire de son conseil national, prévue demain vendredi, revêt une importance cruciale ! Les membres de la plus haute instance entre deux congrès devront ainsi dire si oui ou non le parti cher au défunt Hocine Aït Ahmed ira à cette élection : selon des sources proches du parti la bataille risque d'être très serrée entre les partisans de la participation et ceux qui sont ouvertement contre cette option. Chaque camp tentera ainsi de peser de toutes ses forces pour faire pencher la balance en sa faveur et cela risque d 'être assez compliqué tant les avis semblent très éloignées : Les arguments que présentera chaque camp sont connus ; pour ceux qui militent pour la participation le FFS ne peut se permettre de déserter le terrain pour le laisser libre à d'autres forces politiques : Selon les arguments de ce camp, l'enjeu des élections locales diffère de celui des élections législatives : lors de ces dernières élections, tenues le 12 juin dernier, le parti du FFS a décidé, pour rappel, de ne pas participer. Pour les tenants de l'option de participation, l'enjeu est d'occuper le terrain local pour être ainsi très proche des populations et de leurs préoccupations.
Il en est autrement des partisans du boycott qui clament que la participation ne sert pas les intérêts du parti : pour eux en effet, la participation du ffs servira juste d'alibi démocratique pour le pouvoir comme cela est d'ailleurs le cas pour toutes les élections organisées ces dernières années : En d'autres termes ce seront des élections « fermées » ou les partisans du pouvoir vont avoir toutes les chances et les conditions pour cela afin de remporter ces élections ; Mais l'argument massue de cette tendance qui plaide pour le boycott reste incontestablement l'attitude des militants et cadres du parti ; Cette tendance pense ainsi que la majorité des cadres et des militants n'est pas en faveur de la participation. Mais qu'à cela ne tienne le FFS devra trancher coute que coute car le temps presse. Rappelons que lors de la précédente élection, celle des législatives anticipées du 12 juin, le parti n'a pas pris part à ce rendez-vous électoral.
En plus du FFS d'autres partis ont pris la même position à l'exemple du RCD , du parti des travailleurs pour ne citer que ces formations politiques. Les partis politiques qui se disent en faveur du hirak ont décidé de boycotter les législatives qui ont été remportées par les partisans du président de la République Abdelmadjid Tebboune. Le FLN, le RND , le front El Moustakbal et les indépendants ont en effet remporté la majorité des sièges disposant ainsi l'APN formant ainsi une solide majorité présidentielle ; D'autres partis politiques comme le RCD ou le parti des travailleurs n'ont pas encore pris de décision s'agissant de leur participation ou non au scrutin du 27 novembre ; C'est dire que la décision du FFS est très attendue non seulement par ses propres militants, mais aussi et surtout par les autres partis politiques.
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Posté Le : 09/09/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com