Algérie

FFS CHLEF dénonce le pouvoir publique



Depuis le début des intempéries qui frappent le pays et en CHLEF en particuliers , nos compatriotes vivent dans l’isolement et le dénuement telque zeboudja ,beni rached ,dahra,ouled ben abed el kader ,Bouzeghia ,beni bouateb ,berira , beni haoua el karimia ,harchoune …etc . Les populations, dans les villages et les contrées le plus reculées, sont livrées à elles-mêmes. Des milliers chélifiens sont privés du minimum vital, et depuis plusieurs jours, ils connaissent la faim, le froid et l’angoisse pour leurs malades.

Une fois encore, l’action publique a été très en dessous des besoins de la situation. Cette impréparation à réagir aux situations d’urgence, est inquiétante et ne s’explique pas. La question reste posée depuis les inondations de Bab El Oued en 2001.

Que sont devenues les promesses de l’Etat de doter les collectivités locales d’équipements pour faire face aux catastrophes naturelles, suite notamment aux intempéries de 2005 ?

Quelle que soit leur bonne volonté, les élus locaux, amputés de leurs prérogatives par un code communal scélérat, ne sont pas en mesure de pallier à l’absence et à la défaillance de l’Etat.
Pour leur part, les citoyens, dans leur immense majorité, se sont spontanément mobilisés dans des actions de solidarité qu’elles soient locales ou qu’elles viennent d’autres régions du pays. Les militants et les élus du FFS CHLEF se sont totalement impliqués aux côtés de la population. Heureusement, les ressorts de la société ne sont pas totalement cassés.

Plus urgente apparait la construction d’un Etat capable d’assurer ses missions; ce qui implique une volonté nationale pour lever les obstacles politiques, bureaucratiques et administratifs.



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