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Festival national de la création féminine



Festival national de la création féminine
C'est une belle cérémonie qui a réuni les journalistes de la rubrique culturelle, mercredi dernier au Bastion 23. Une cérémonie organisée en l'honneur des lauréats du prix média initié en marge du Festival national de la création féminine organisé par le ministère de la Culture depuis sa création en 2010.Ce prix récompense chaque année la couverture médiatique réalisée par les journalistes de la culturelle, tout au long du festival. C'est une ambiance festive et presque familiale qui a régné dans la salle de conférences du palais des Raïs. Le public composé essentiellement de journalistes et photographes a été ravi du palmarès de cette sixième édition annoncée par Hamida Agsous, commissaire du Festival et Belkacem Rouache, journaliste et président du jury. En préambule de la remise des cadeaux, Hamida Agsous est revenue brièvement sur le concours de cette année. Elle a indiqué : «Nous avons sélectionné les meilleurs articles sur plus de 100 écrits ayant couvert le festival, nous n'avons bien sûr pas pris en compte ceux qui se sont inspirés ou qui ont repris les articles de l'agence APS, et cela pour apprécier la plume de chaque auteur.» En effet, un peu plus d'une quarantaine d'articles ont été présélectionnés par le jury. Une seconde sélection a par la suite divisé ce chiffre par deux. Au final, c'est un palmarès 100% féminin qui a été décidé par les membres du jury. Et c'est notre adorable cons?ur, Sarah Boualem, journaliste à la rubrique culture de notre quotidien, qui a raflé le premier prix. Un prix amplement mérité selon le président du jury. Belkacem Rouache a tenu à préciser que «malgré le fait qu'il y a eu de grands événements qui sont Constantine capitale de la culture arabe et le Festival du film arabe à Oran, il y a eu une bonne couverture du festival de la création féminine. J'ai le sentiment que ces journalistes qui sont venus sont poussés par leur intérêt culturel. «Concernant la qualité des articles récoltés, le président du jury a affirmé que «par rapport aux écrits, il y a quand même une différence. Les journalistes essayent tout de même de travailler leur style. «Un style, d'après ce dernier, qui parfois peut manquer d'efforts sur le terrain. Belkacem Rouache souhaiterait qu'un effort soit consenti pour la recherche et l'exercice de style. Il a ajouté, par ailleurs, «dans toutes les rubriques, la base d'un futur bon journaliste ou même d'un politicien, c'est la culture ! Et ne dit-on pas que la culture, c'est ce qui reste quand on a tout perdu '». Sarah Boualem, toujours le sourire aux lèvres, s'est dit très encouragée par ce genre de distinction. «Je suis ravie de recevoir ce prix, d'autant plus que je ne m'y attendais pas du tout. Je remercie la commissaire, Hamida Agsous, et toute son équipe de nous avoir permis d'avoir cette distinction. Ce prix qui est très encourageant pour moi et pour tous ceux dont la culture est une passion», a confié la jeune diplômée en mastère journalisme. Par ailleurs, les deuxième et troisième prix de ce concours ont été décernés respectivement à Rachida Billel et Meriem Noumeiri du quotidien El Massaâ. Un prix d'encouragement et de fidélité a été octroyé en ex aequo à Leila Nekachetali, du quotidien Info Soir et Lynda Graba du journal El Moudjahid.




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