Algérie

Festival international Dimajazz



Festival international Dimajazz
L'Américaine Martha High a bercé, lundi dernier, lors de la troisième soirée du Festival international de jazz, Dimajazz, l'assistance au rythme des musiques soul, jazz et blues, dans un show exceptionnel empreint de magie.L'ancienne choriste du «Godfather of Soul» James Brown, Martha High, à la voix puissante et la présence imposante, a lancé «Love light» de son dernier album «Singing for the good times», donnant un avant-goût à une prestation de haute volée. Celle qu'on surnomme la voix du diamant, d'une soul qu'on ne se lassera jamais d'écouter, a enchaîné avec «Always worth the pan», «I'm a woman», «can't hold on», dans un show des plus captivants. Elle a ensuite interprété ses «combats» et ses peines avec «Lean on me» devant une assistance composée de plusieurs générations, littéralement conquise. La première partie de la soirée était confiée à Djamel Sabri (Djo) et à son groupe les Berbères qui, dès leur entrée sur scène, ont annoncé la couleur d'une soirée qui allait être survoltée. Djo, débordant d'énergie, a chanté «El machina», «Amghar» et «Yemma el Kahina», et a rapidement conquis le public, avec les rythmes de sa musique et ses gestuelles. La communion avec le public était à son comble lorsque Djo entonne le tube «Bachtoula», au grand bonheur d'une assistance euphorisée par des refrains rageurs et des rythmiques cinglantes. APS


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