«La voix, la
voix, la voix, C'est seulement la voix qui reste, Pourquoi je m'arrêterais ?» (Forough Farrokhzad, poétesse
iranienne morte à 32 ans)
« L'adoption de
ce système d'inégalité n'a jamais été le résultat d'une délibération, d'une
réflexion, d'une théorie sociale ou de quelque connaissance que ce soit des
moyens d'assurer le bonheur de l'humanité ou le bon ordre de la société. Ce
système est né simplement du fait que, dès les tous premiers temps de la
société humaine, la femme s'est trouvé l'esclave de l'homme en raison de la
valeur qu'elle représentait pour lui et son infériorité physique. Les lois et
les systèmes politiques commencent toujours par reconnaitre
les relations existant déjà entre les individus. Ce qui était jadis contraints
à l'obéissance par la force y furent donc tenus par la loi…L'inégalité des
droits de l'homme et de la femme n'a pas d'autre source que la loi du plus
fort.» (John Stuart Mill)
Et le plus fort
vient d'envisager (ce n'est pas encore acquis) de donner le droit de vote aux
Saoudiennes et la parité aux Algériennes. Elles n'ont pas envahi les rues pour
exprimer leur reconnaissance à leur Raïs. Elles ne sautent pas de joie, les
ingrates. Sérieusement, malgré l'élaboration des Constitutions politiquement
correctes qui interdisent toute forme de discrimination raciale culturelle
sexiste, le pouvoir reste exclusivement masculin partout dans le monde à part
de rares exceptions comme les pays nordiques. L'idée d'un partage sexuel du
pouvoir est apparu en France en 1880, la féministe Hubertine
Auclert avait écrit une lettre au préfet où elle
refusait de payer ses impôts : «Je laisse aux hommes qui s'arrogent le pouvoir
de gouverner le privilège de payer les impôts qu'ils votent et répartissent à
leur gré…» Il fallait attendre presque une décennie(1999)
pour que le Congrès lui donne raison en ajoutant à l'article 3 de la Constitution cette
simple phrase : «La loi favorise l'égal accès des hommes et des femmes aux
mandats électoraux et aux fonctions électives.» Un accouchement dans la douleur
au point d'effacer la légendaire galanterie française (les hommes cités en
premier). Berceau de la civilisation occidentale, ce n'est qu'en 1944 que la France face à la menace
Hitlérienne donne le droit de vote aux femmes. Jules Simon en 1867 expliquait :
«La famille a un vote, si elle en a deux, elle serait divisée, elle périrait.»
Dans son livre, Politique des sexes, Sylviane Agacinski
fait une symétrie avec la crainte du vote des femmes et la parité : si le
premier mettait la famille en danger, la deuxième risquait de diviser la
nation. On sait que pour le vote des femmes, les politiciens se sont trompés,
pour la parité, qui vivra verra. La femme algérienne a eu le droit de vote sans
l'avoir demandé mais plus elle votait plus ses droits diminués.
Un exemple à
méditer pour la femme wahhabite. Quant à la parité, l'histoire nous révèle que
les rares femmes qui ont détenu le pouvoir n'ont pas vraiment brillé par leur
féminisme. La règne de la reine Victoria a été un
cauchemar pour les femmes anglaises, Benazir Bhutto n'a pas fait de la
condition des Pakistanaises sa tasse de thé, chez nous Khalida
Messaoudi et Louisa Hanoune, ex féministes avérées se sont montrées aussi
reconnaissantes que les premières. Quant à la parité, c'est souvent le mirage
qui cache le désert. Quand Bush a envahi l'Irak, il y avait plus de femmes dans
le parlement de Saddam que dans celui de Chirac. En Iran, Khomeiny a imposé le
hidjab dépénalisé la polygamie la lapidation le mariage de jouissance mais il a
crée des milices féminines, a encouragé ses militantes parentes sympathisantes
à prendre les postes désormais interdits comme la justice la politique à la
gente féminine de la populace. Que dire du Rwanda où 50% de femmes siègent au
parlement et plus de 30% en Afrique du Sud où le Président affiche son coûteux
harem sans complexe et Kadhafi qui a maintenu la Libye sans aucune structure
étatique mais qui a pris le soin de construire des écoles militaires modernes pour
former ses amazones. Le grand défenseur de la cause des femmes, John Stuart
Mill, a constaté avec ironie que si un pays est dirigé par un roi, on est sûr
que c'est les femmes qui dirigent et si c'est une reine c'est les hommes. Mais
dans le monde arabe, le roi cloître les femmes et de reine, il n'y en a jamais
eu à part celle dont parle dans son livre, Sultanes Oubliées, Fatima Mernissi : Chajarat ad-Dur. Cette sultane a pris le pouvoir avec noblesse en
1250 en Egypte en battant les Français et en emprisonnant leur roi Louis IX
(fait unique dans l'histoire arabe qui l'a complètement gommé). Une hérésie
pour le calife abbasside Al-Mutaçim qui envoya aux
émirs d'Egypte l'humiliant message où il se proposa de leur fournir des hommes
puisqu'ils n'ont trouvé qu'une femme pour les diriger. Ce roi misogyne piètre
combattant a causé la destruction de Bagdad en 1258 et la mort de milliers de
musulmans tués par Hulegû, fils de Gengis Khan.
Les régimes
arabes nous ont accoutumé à désigner systématiquement la femme comme bouc
émissaire. Dès 1962, avant le partage du gâteau et après avoir apprécié leur
youyou, le FLN renvoya les moudjahidates à leurs
fourneaux. L'héroïne la plus célèbre, Djamila Bouhired
a été obligée il n'y a quelques mois de lancer un SOS via les journaux pour
pouvoir se soigner. Pourtant on estime par milliers les faux moudjahidines qui profitent de la rente pétrolière en toute
quiétude et bonne conscience. Massu dans son livre, La Vraie Bataille
d'Alger, a écrit : «Il est évident que le rôle joué par les femmes dans la
lutte du FLN a été très importante. Transporteuses et poseuses de bombes, elles
formaient un véritable réseau. Leur équipement, leur charme, leur innocence
apparente de leur comportement leur donnèrent des facilités pour pénétrer
partout sans provoquer, surtout dans les premiers temps, la méfiance.» Même
occupée à rouler le couscous, la femme faisait peur, il fallait en faire une
sous-espèce comme la nature n'obéit qu'à ses règles, le pouvoir se mit à
encenser les islamistes. C'est Boumediene qui inaugura les séminaires
islamiques, les universités islamiques et une mosquée pour chaque quartier.
Tous les dirigeants arabes ont fait pareil. La Syrie, où Bachir el Assad massacre sa population en criant au loup en parlant
du danger des islamistes, possède 8000 mosquées pour 18 millions d'habitants,
120 écoles Assad pour apprendre le Coran et 22
instituts de sciences religieuses et parmi les 584 associations reconnues 290
sont islamiques ; selon l'ONU, 30% de la population du «lion» est pauvre. Pour
revenir à notre président défunt, il faut reconnaitre
qu'il aurait pu se talibaniser et stopper la
construction d'écoles mixtes mais en ce temps là, c'est le socialisme qui était
à la mode, il s'était contenté de conseiller à l'UNFA
de fêter le 8mars en dénonçant l'oppression des autres (1968 pour le Vietnam,
1969 pour la Palestine
et 1970 pour tous les peuples en lutte).
Ce qui n'a pas
empêché sa représentante le 8 mars 1971 de dénoncer la mal-vie
de ses consÅ“urs en ces termes : «La femme algérienne est déchirée entre un
besoin irrésistible d'accéder à d'autres dimensions que celles de son rôle
traditionnel (que se soit celui d'épouse, de mère ou de militante) et la
crainte de déplaire à son entourage, à la société qui paralyse ses élans.» Mais
le Guide resta sourd à cet appel, il assuma jusqu'au bout les paroles qu'il a
dit le 3 juillet 1969 à l'occasion de la distribution des prix au lycée Hassiba Ben Bouali : «L'avenir de
la nation repose en premier sur cette génération montante : filles qui seront
demain les meilleurs mères et jeunes garçons qui deviendront des hommes forts
prêts à assumer vis-à-vis de l'Etat et de la Nation toutes leurs responsabilités.»
La fille
deviendra mère et le garçon deviendra soldat, discours type des hommes qui
incarnent le pouvoir sans partage. Reich dans son livre, la Psychologie de masse
du Fascisme, parle «de l'idéalisation mystique de la maternité chaste qui est
un moyen très efficace non seulement de réduire complètement la sexualité
féminine pour l'orienter toute la production de l'espèce vers des fins
politiques souvent meurtrières (oppression, injustices, guerres)» A la mort de
Boumediene, les religieux demandèrent l'application de la charia, la chasse aux
sorcières s'intensifia et les medias lourds officiels se mirent au service des
prêches misogynes d'el Ghazali pour aboutir au code de la famille de 1984 qui
en déclassant la moitie de la population a déstabilisé toute la société au pays
de La Kahina.
En 1988, profitant de la révolte des jeunes, les intégristes
à l'affut comme toujours envahirent
le champ de bataille. Ecarté du pouvoir, le FIS muscla son bras armé sur le dos
féminin. Devant les cris au secours des citoyennes, l'Etat était aux abonnés
absents et le terrorisme a fini par s'attaquer à toute la famille, les hommes
et les enfants. Au dernier séisme, c'est le péché ‘fassad'
des filles d'Eve qui a provoqué la colère d'Allah, affirmèrent les prédateurs
et les dominateurs. Similitude de l'histoire, Pierre Miquel dans son livre «Les
mensonges de l'Histoire» en parlant des croisades dit : «Aux mensonges des
seigneurs assoiffés de butin, il (le clergé) substitue le mirage de la grâce
divine, toujours prête à secourir les justes…Qui se soucierait jamais du petit
peuple sacrifié à ces ambitions planetaires ?» Idem
pour la Reconquista sur fond d'assimilation Islam
et Antéchrist afin de vider l'Andalousie de ses musulmans, face à une Europe
décimée par l'épidémie de peste, l'Eglise a persécuté le juif et la femme pour
calmer ses fidèles désorientés. Face à la dépression économique, Mussolini
accusa les Italiennes : «Le foyer demeure la place véritable des femmes qui
aujourd'hui, acculent les hommes à l'oisiveté.» En Irak, à la premiere invasion americaine
Saddam Hossein s'est precipité pour supprimer le
micro avantage accordé aux femmes en cas de divorce et a rétabli le crime
d'honneur.
Sur ce sujet, dès
1949, inaugurant la versification libre, la grande poétesse irakienne Nazek El Malaîka écrivait dans
son poéme «Laver la honte» dans lequel elle dénonce
la tradition qui veut que le frère égorge sa sÅ“ur coupable. Elle fait parler le
justicier : «Nous avons détruit, la honte.- Et sommes retournés vertueux.- A la
réputation vierge, libres.- Ö Dieu des tavernes, où est ton vin où est la coupe
?- Où est la belle langoureuse à l'haleine parfumée ?» La honte l'interpelle :
«Remplis les coupes ô boucher, - C'est à la suppliciée de laver la honte !»…En
même temps le royaume Wahhabite réplique à Saddam qui vient d'envahir le Koweit par une fetwa interdisant
aux Saoudiennes de conduire des voitures pendant que les Américaines ces
«drôles de femmes soldats» veillait sur la sécurité
des Lieux Saints. Est-ce la femme Irakienne qui a ouvert les portes de Bagdad à
l'oncle Sam ? Est-ce que les Saoudiennes allaient voler
la voiture et la clé des champs ? Dans un pays où le droit de se soigner est
conditionné à l'accord du mari, comment parler de vote. «Tu veux quoi, ô
mendiant ? Maitre, je veux une bague.» Imaginons un
homme voulant se débarrasser de sa douce moitie, c'est simple, il lui interdit
de se soigner, c'est son droit, le crime parfait que même la reine du crime
Agatha Christie n'a pas imaginé. Quant à l'Algérienne, ça sent le souffre cette
parité, une incitation à la guerre des sexes. Lui promettre une parité dans une
liste où el Hadj Moussa de 62 est Moussa el Hadj de 2011, remettre sur les
rails une UNFA relookée liftée pour une ambiance incestueuse: el Hadja Messaouda et Messaouda el Hadja.
Un pouvoir apeurée qui se souvient, il était une fois
des Algériennes... Ce qui a fait dire à Wassyla Tamsali dans son livre «Une femme en colère» que tant que
la domination patriarcale subsistera, les femmes resteront une monnaie
d'échange. La parité ne vient ni en tête ni à la queue des préoccupations des
femmes algériennes, il n'y a qu'à tendre l'oreille à la maison souk hammam fête
salon de coiffure terrasse balcon bureau école hôpital salle d'attente…, pour
s'en convaincre. Comme leurs frères, elles ont appris à se débrouiller.
Aujourd'hui, les pères en inscrivant leur fille à l'école ne rêvent plus de
prince charmant mais du diplôme de médecin d'avocate d'ingénieur, ils
n'hésitent pas à faire de gros sacrifices pour le réaliser. D'après des
statistiques de 2005, de 6 à 24 ans il y a plus d'Algériennes instruites diplômées
que d'Algériens. Si l'emploi féminin n'est que de 15%, parmi les travailleurs
ayant un niveau supérieur 25,7% sont des femmes alors que les hommes ne
représentent que 8,1%.
Pour les
salaires, la discrimination est plus effrayante, les salaires des femmes sont
de 50,5% inferieurs à ceux des hommes alors qu'au
niveau international l'écart n'est que de 25%. Devant ce véritable apartheid
parler de parité c'est une honte une insulte. Heureusement, la cellule
familiale a fait sa propre parité depuis belle lurette. Si le rez-de-chaussée
est désormais voué au commerce ce n'est pas au seul profit du fils chômeur. On
veille aussi à réserver un salon de coiffure un magasin de cosmétiques de
gâteaux traditionnels pour la fille qui boude les études ou pour la studieuse,
un cabinet médical juridique… et si ça ne suffit pas, la fuite. L'émigration se
féminise de plus en plus, sur 100 étudiants algériens inscrits dans les
universités françaises 30 sont des filles. A la porte des ambassades, il y
autant de femmes que d'hommes pour quémander un visa. Le poète Archiloque
écrivait : «Le renard sait beaucoup de choses, mais le hérisson sait une seule
grande chose.» Au moment où l'histoire amorce un virage partout dans le monde,
nos pouvoirs tenus par des vieux dictateurs moribonds continuent à jouer avec
nous à «tiens tu l'auras quand le sel fleurira.». Kate
Millet écrivait : «Si on considère que le gouvernement patriarcal comme
institution qui soumet la moitie féminine de la population au contrôle de la
moitie masculine, on voit que son principe est double : l'homme dominera la
femme ; parmi les hommes, le plus âgé dominera le plus jeune.»
Le mouvement
abolitionniste et le mouvement féministe américain se sont encouragés
mutuellement. Même Ibn Khaldoun relève ce lien entre
l'esclave et la femme : «C'est ainsi que l'esclavage, spécialement sous forme
domestique, a contribué de façon décisive à la détérioration du statut de la
femme dans la société arabe.» Il est interessant de
constater que dans Les Milles et une Nuits, la femme ne commet l'adultére qu'avec un esclave noir. La baraka de nos
dirigeants c'est de maintenir la femme et l'homme en esclavage par la force des
armes fabriquées ailleurs. La totalité du milliard et demi de musulmans ne
connaissent aucun régime démocratique. Les 32 pays arabes achètent plus de 50 %
des armes vendus dans le monde et ne publient qu'à
peine le 1% de livres. Les nantis n'aiment pas la lecture et les pauvres n'ont
pas les moyens. Beaucoup d'intellectuels honnêtes se sont soulevés très tôt
contre la condition des femmes, en 1984 l'anthropologue et historien Mahfoud Bennoune a écrit dans son
livre «Les Algériennes» : «L'expérience qui a contribué à ma prise de
conscience dégradante de la femme dans la société algérienne eut lieu durant
mon emprisonnement durant la guerre de libération… Je fus frappé par la
similitude de ma situation et celle de tous mes camarades enfermés avec celle
de mes compatriotes femmes, des sÅ“urs de mes amis…cloitrées,
controlées, humiliées, condamnées à perpetué aux travaux forcés... sans la moindre protestation
comme nous subissions les brimades et les sévices, voire la torture, dans les
geôles coloniales...» Donner des droits aux femmes oui d'abord les plus
élémentaires avant d'atteindre la cerise sans le gâteau du vote et de la
parité.
On ne soigne pas
un corps gangrené en le camouflant avec du fond de teint. Les scientifiques
affirment que le fÅ“tus ressent les souffrances de la mère. Des études ont été
faites aux USA dans les années 50 puis les années 70 sur la santé mentale des
femmes américaines qui ont demontré qu'elle s'est amelioré avec l'acquisition de plus d'égalité. Les sciences
sociales aussi confirment la présence chez les femmes des caractéristiques
inhérentes aux groupes minoritaires : haine et rejet de soi-même et de son
groupe, mépris de soi et de ses congénères. Ce qui fait dire que si les hommes
n'aiment pas les femmes, les femmes se haïssent entre elles. Comment l'enfant
peut évoluer sainement avec un être diminué de gré et de force. Jusqu'à présent
aucune étude n'a été faite sur l'enfance de ce jeune parfois adolescent qui
bascule dans le meurtre de femmes d'enfants d'hommes qui ne lui ont rien fait
juste pour obéir à son émir. Pas un terroriste n'a comparu devant un juge pour
nous expliquer le pourquoi du viol de milliers de filles musulmanes. Des
victimes consolées par l'Etat avec un «certificat de virginité» et zéro dinar
car la réparation financière est assimilée officiellement à de la prostitution.
Rejetées par leur famille, sans ressource, sans formation, on devine qu'il ne
leur reste que cette dernière comme solution sans parler de la mendicité ou du
suicide. Alors que bon nombre de leurs terroristes ont été non seulement
pardonnés mais bien «récompensés». C'est Victor Hugo qui a dit qu'il suffit de
gratter un juge pour trouver un bourreau.
Il est dépassé le
temps où de l'imam El Chafié (767-820) théologien et
juriste fondateur de l'une des 4 écoles juridiques de l'Islam orthodoxe
affirmait : «Trois choses vous insultent si vous les honorez et, si vous les
insultez vous honorent : la femme le serviteur et le nabatéen.» Il est dépassé
le temps où Pythagore, le fameux mathématicien grec dont le théorème a été
choisi par la Nasa
en 1972 pour son engin spatial Pioneer afin de
démontrer aux éventuels extraterrestres qu'une civilisation avancée existe sur
la planète Terre, déclarait : «Il y a un principe bon qui a crée l'ordre, la
lumière et l'homme et un principe mauvais qui a crée le chaos, les ténèbres et
la femme.» Poulain de la Barre
a répliqué : «Tout ce qui a été écrit par les hommes sur les femmes doit être
suspect, car ils sont à la fois juge et partie.» Les idées sexistes ne font
plus recette que chez de vieux tyrans à l'Alzheimer avancée, et pour cause,
elles ont trop servi et ont démontré leur nullité leur dangerosité. Les
révolutions resteront l'Å“uvre de la jeunesse qui est en train de se dresser
contre ces fossiles qui s'accrochent à leurs «suaires» pour s'accaparer le
passé le présent et l'avenir jusqu'au tombeau. Aujourd'hui, Facebook,
ce «sésame ouvre toi» inventé par les jeunes pour les jeunes, est rentré dans
les maisons par le ciel et a donné le vote la parité et la voix à tous les
êtres humains sans aucune discrimination culturelle raciale et sexiste.
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Posté Le : 13/10/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Mimi Massiva
Source : www.lequotidien-oran.com