Si beaucoup de présidents américains ont été criminels (Truman, Johnson, Nixon, Bush fils, Obama, pour ne citer que les pires depuis 1945), la plupart d'entre eux ne le sont devenus qu'une fois installés à la Maison-Blanche. Hillary Clinton, elle, avait annoncé sa couleur criminelle avant d'accéder à la fonction suprême.En fait, dans un pays véritablement démocratique, les «cocotes» que traîne derrière elle la candidate démocrate auraient dû suffire pour l'écarter, dès les primaires, de la course à la présidence. Dans ce sens, les exemples ne manquent pas. En premier lieu, dans l'affaire de Benghazi : le 11 septembre 2012, alors qu'elle était ministre des Affaires étrangères d'Obama, elle a refusé de porter secours au personnel «diplomatique» américain stationné dans cette ville, ce qui a conduit à la mort de quatre fonctionnaires, dont «l'ambassadeur».Bien sûr, le rôle de Clinton dans l'agression de 2011 contre la Libye (massacre de dizaines de milliers de civils) est infiniment plus grave, mais cela ne compte pas (tuer des Arabes, c'est OK). Quoi qu'il en soit, pour les 4 Américains morts, «Killary» aurait dû être écartée de son poste et inculpée.Seconde «ânerie», l'affaire des 35.000 courriels classés «secrets d'Etat» que Clinton avait placés sur un serveur personnel, puis fait effacer après avoir reçu du Congrès l'injonction officielle de les produire. C'est un crime aux yeux de la loi américaine, mais alors que beaucoup de gens ont déjà été jetés en prison pour beaucoup moins, le FBI complice (ou du moins son directeur James Comey) a étouffé l'affaire et blanchi la candidate criminelle.Troisième «méprise», l'affaire des 650.000 courriels, dont un certain nombre également secrets, transférés par Clinton sur l'ordinateur privé de Huma Abedin, sa «secrétaire» islamiste saoudienne et petite amie lesbienne de trente ans plus jeune, précédemment mariée à l'exhibitionniste juif Anthony Weiner. Ces 650.000 courriels ont été découverts par les «zantisémites» du FBI dans le cadre d'une enquête contre Weiner pour «textopornographie» («sexting») avec une jeune fille de 15 ans.Une semaine après avoir dévoilé ce nouveau scandale, le FBI (James Comey) blanchit de nouveau Hillary Cinton. Enfin, le scandale de la Fondation Clinton, une machine à remplir les poches de la candidate. Quand elle était aux Affaires étrangères (et même après), Crooked Hillary faisait payer quiconque voulait lui parler.De cette manière, elle a amassé plus de cent millions de dollars en toute impunité. Dans les affaires de corruption, aux USA, on condamne les gens pour cent dollars...Donald Trump, en devenant Président, demanderait-il à son ministre de la Justice de faire toute la lumière sur ces affaires étouffées. Un de ses slogans de campagne souvent repris en ch'ur par ses partisans est «Lock her up !...» (Enfermez-la).
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Posté Le : 26/11/2016
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Chérif Abdedaïm
Source : www.lnr-dz.com