Le groupe Facebook poursuit son examen de conscience entamé après l'élection de Donald Trump à la Maison-Blanche en 2016, reconnaissant lundi dernier que les réseaux sociaux pouvaient affaiblir une démocratie et promettant de tout faire pour limiter ces risques.Ce n'est pas le patron Mark Zuckerberg qui s'est lancé dans une nouvelle salve d'autocritique du réseau social, mais le responsable de l'engagement civique chez Facebook, Samidh Chakrabarti.» Je n'ignore pas les dommages qu'Internet peut causer, même au sein d'une démocratie qui fonctionne bien», a-t-il écrit sur le blog de Facebook, en réponse à sa propre question: «Quels effets ont les réseaux sociaux sur la démocratie'» Il cite évidemment les fausses informations, les «fake news» qui empoisonnent Facebook depuis plus d'un an, mais aussi les bulles d'information ne soumettant à l'utilisateur que des informations et des avis auxquels il adhère déjà.
Il mentionne aussi les messages à caractère haineux ou racistes.
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Posté Le : 24/01/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L'Expression
Source : www.lexpressiondz.com