Algérie

Exigence des compétences Réformes politiques-femmes



Exigence des compétences                                    Réformes politiques-femmes
La compétence des femmes dans le domaine politique, doit être en fait une exigence au sein des partis politiques algériens. Elles peuvent apporter des changements dans l'idéologie des partis, ainsi qu'au sein de l'Assemblée populaire algérienne. Dans ce sens, maître Ben Braham a affirmé que « la femme algérienne doit être, avant tout, compétente pour aller vers la prise des décisions. Elles (les décisions) ne sont pas faciles, il y a des dangers. De ce fait, elle doit les évaluer et revenir sur toutes leurs compétences qui ne les ont pas appliquées avant. Les femmes compétentes existent et elles sont nombreuses, peut être, plus nombreuse en Algérie que dans les autres pays ». Les conférenciers présents hier mardi, au centre de presse d'El Moudjahid se sont penchés sur la promotion de l'image de la femme politique en Algérie, au Maroc et en Tunisie, Cette conférence a été organisée par le Centre de la femme arabe pour la formation et la recherche (CWTAR). Les conférenciers sont revenus sur le rôle de la femme dans tous les domaines, et les responsabilités qui les attendent en politique. « Notre conférence est une reponse au président de la République envers les réformes entreprises sur le quota de la representation de la femme dans les assemblées élues », a déclaré, Yasmina Taya, présidente de l'association des femmes chefs d'entreprises (SEVE). Aujourd'hui la femme a atteint des postes de responsabilité dans les différents secteurs du pays, à l'instar de l'économie, la santé, l'éducation et même la politique. « On peut dire que la femme occupe un place importante en Algérie (60% de femmes dans le secteur de la justice), de même, elle a joué un rôle primordial dans le développement du pays, depuis l'indépendance, aux côtés de l'homme », a fait savoir Farouk Ksentini, le président de la Commission nationale de promotion et de protection des droits de l'homme. L'initiative prise dans les dernières réformes, 30% de femmes dans l'APN, peut apporter un plus sur le plan politique algérien. La scène politique, avec cet important quota, s'articule essentiellement sur le rôle de la femme. Dans ce sens, maître Ben Braham a qualifié le rôle de la femme au sein des partis politiques « comme un premier pas en politique, un pas important. Avant, il n'y avait que quelques femmes qui militaient dans un parti politique, aujourd'hui elles vont faire partie du paysage politique. Il est demandé aux leaders des partis de choisir des représentants, les femmes comme les hommes, compétents pour imposer leurs idées dans les prochaines échéances ». Par ailleurs, les conférenciers ont appelé les médias à mettre en valeur et promouvoir le rôle de la femme dans les différentes institutions nationales. Dans ce sillage, Yasmina Taya, a signalé que « nous devons mettre en place une dynamique, une réelle volonté de promouvoir le rôle de la femme ». De ce fait, un film documentaire intitulé Who is Fatma ' , retraçant le rôle de la femme algérienne, marocaine et tunisienne été projeté, à cette occasion, afin de vulgariser cette culture de la promotion de la femme dans les médias. Enfin, les conditions de travail de la femme au sein des entreprises algériennes sont toujours, en débats. « Il faut instaurer deux articles complémentaires à l'article 31bis , qui sanctionnent le harcèlement moral de la femme et le comportement sexiste au sein des entreprises », a revendiqué maitre Ben Brahem.
La compétence des femmes dans le domaine politique, doit être en fait une exigence au sein des partis politiques algériens. Elles peuvent apporter des changements dans l'idéologie des partis, ainsi qu'au sein de l'Assemblée populaire algérienne. Dans ce sens, maître Ben Braham a affirmé que « la femme algérienne doit être, avant tout, compétente pour aller vers la prise des décisions. Elles (les décisions) ne sont pas faciles, il y a des dangers. De ce fait, elle doit les évaluer et revenir sur toutes leurs compétences qui ne les ont pas appliquées avant. Les femmes compétentes existent et elles sont nombreuses, peut être, plus nombreuse en Algérie que dans les autres pays ». Les conférenciers présents hier mardi, au centre de presse d'El Moudjahid se sont penchés sur la promotion de l'image de la femme politique en Algérie, au Maroc et en Tunisie, Cette conférence a été organisée par le Centre de la femme arabe pour la formation et la recherche (CWTAR). Les conférenciers sont revenus sur le rôle de la femme dans tous les domaines, et les responsabilités qui les attendent en politique. « Notre conférence est une reponse au président de la République envers les réformes entreprises sur le quota de la representation de la femme dans les assemblées élues », a déclaré, Yasmina Taya, présidente de l'association des femmes chefs d'entreprises (SEVE). Aujourd'hui la femme a atteint des postes de responsabilité dans les différents secteurs du pays, à l'instar de l'économie, la santé, l'éducation et même la politique. « On peut dire que la femme occupe un place importante en Algérie (60% de femmes dans le secteur de la justice), de même, elle a joué un rôle primordial dans le développement du pays, depuis l'indépendance, aux côtés de l'homme », a fait savoir Farouk Ksentini, le président de la Commission nationale de promotion et de protection des droits de l'homme. L'initiative prise dans les dernières réformes, 30% de femmes dans l'APN, peut apporter un plus sur le plan politique algérien. La scène politique, avec cet important quota, s'articule essentiellement sur le rôle de la femme. Dans ce sens, maître Ben Braham a qualifié le rôle de la femme au sein des partis politiques « comme un premier pas en politique, un pas important. Avant, il n'y avait que quelques femmes qui militaient dans un parti politique, aujourd'hui elles vont faire partie du paysage politique. Il est demandé aux leaders des partis de choisir des représentants, les femmes comme les hommes, compétents pour imposer leurs idées dans les prochaines échéances ». Par ailleurs, les conférenciers ont appelé les médias à mettre en valeur et promouvoir le rôle de la femme dans les différentes institutions nationales. Dans ce sillage, Yasmina Taya, a signalé que « nous devons mettre en place une dynamique, une réelle volonté de promouvoir le rôle de la femme ». De ce fait, un film documentaire intitulé Who is Fatma ' , retraçant le rôle de la femme algérienne, marocaine et tunisienne été projeté, à cette occasion, afin de vulgariser cette culture de la promotion de la femme dans les médias. Enfin, les conditions de travail de la femme au sein des entreprises algériennes sont toujours, en débats. « Il faut instaurer deux articles complémentaires à l'article 31bis , qui sanctionnent le harcèlement moral de la femme et le comportement sexiste au sein des entreprises », a revendiqué maitre Ben Brahem.


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