Evénements

On ferme boutique. On met la clé sous le paillasson pour un petit break, relaxant et fort reposant. Exit l'overdose politique et place au sport, forcé au repos mais qui reprendra très bientôt son droit de cité.Mais avant que le football fasse son come-back, bien des évènements ont l'on devancés. Le plus en vue est certainement cette autre déroute du Barça qui sort les mains vides de cette éprouvante saison. Eliminé de la champions league, devancé dans le championnat espagnol où l'Athlético Madrid est presque certain de remporter le titre, il est en outre, battu en final de la coupe du Roi par son éternel rival, le Real Madrid. Les mains vides, le Barça méditera longtemps sur ce mauvais sort qui s'est abattu sur lui durant l'actuelle saison. Mais il le prend du bon côté et certainement, il repartira du bon pied pour reprendre ce qu'il a perdu. Le plus étonnant, c'est que ce Barça a gardé la tête froide pour surmonter cette dure épreuve. Imaginez un peu que l'un de nos clubs perde trois titres à la fois, un fort séisme l'aurait certainement emporté. Mais cette comparaison est trop osée pour mettre sur la même balance le Barça et l'un des clubs algériens. Un autre évènement, national celui-là, mérite l'attention. Le noble art revient sur au devant de la scène grâce au jeune pugiliste Adlane Ouarzeddine, qualifié aux huitièmes de finale des championnats du monde de boxe. Une première dans les annales de l'histoire de la boxe algérienne dans cette catégorie. Loin des feux de la rampe, ce jeune fait son bonhomme de chemin. Une éclaircie dans le ciel morose de notre sport, de cette discipline qui a pourtant enfanté Moussa, Dine et bien d'autres pugilistes de niveau mondial. Mais ne dit-on pas, mieux vaut tard que jamais. Le jeune Adlane a repris le flambeau et c'est tant mieux pour ce noble art qui a grandement besoin de ce déclic, peut-être salvateur à l'avenir. C'est tout le mal qu'on lui souhaite.