Dans le cadre de la finance islamique, il est interdit pour l’institution financière islamique d’utiliser les intérêts, d’investir dans des opérations caractérisées par l’incertitude et la spéculation. En contrepartie, il lui est autorisé de participer dans le financement et la gestion des projets sous le principe de partage des pertes et profits, et d’offrir des modes de financement basés sur la marge de profit.
L’institution financière islamique affecte et peut être affectée par différents groupes de parties prenantes. En effet, le travail et le développement de cette institution sont condamnés par les parties prenantes. L’objectif de ce travail consiste à étudier les points de vue des parties prenantes sur l’institution financière islamique en Algérie, par la mesure et la comparaison des points de vues de quatre groupes de parties prenantes.
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Posté Le : 09/11/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Boukacem Amel - Benhabib Abderrezzak
Source : les cahiers du mecas Volume 9, Numéro 1, Pages 90-102