L’étude des écoulements à l’exutoire d’un grand bassin versant hydrologique nécessite souvent une masse d’information (débits et / ou pluies - débits) assez importante. L’absence ou le manque de ces mesures sur les deux échelles spatiales (pour les pluies notamment) et temporelle impose à l’hydrologue de faire appel à des modèles mathématiques spécifiques, souvent stochastiques, capables d’une part de générer l’information absente ou manquante (non mesurée ou refusée) et d‘autre part de simplifier (unifier) la représentation spatiale des phénomènes étudiés (pluie notamment) moyennant une série moyenne la plus représentative possible. L’intérêt de ce deuxième aspect du problème est, entre autres, de faciliter la modélisation des séries de mesures en supprimant l’influence de la variation spatiale.
L’objet de cette étude consiste à étudier, sur la base des mesures réalisées sur trois (03) stations pluviométriques et une station hydrométrique, entre 1947 et 1992, la relation pluie – débit du bassin versant de BOUGOUS, avec différentes variantes au niveau des données pluviométriques et selon trois aspects, étude du rapport débit-pluie, modélisation de la relation pluie-débit et l’étude fréquentielle.
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Posté Le : 07/01/2024
Posté par : einstein
Ecrit par : - Cherrared M - Sellaoui A
Source : Le Journal de l'Eau et de l'Environnement Volume 2, Numéro 2, Pages 25-36 2003-12-31