Etat «psychologique» et aptitude physique des arbitres LE COIN DU REFEREE

Les échos parvenus de la ville de Chlef, concernant le premier jour du conclave des arbitres d'élite au titre de la saison sportive 2013/2014, s'inscrivent dans la case «situation générale préoccupante» comme indice prémonitoire, au regard de ce qui a été relevé après que les arbitres directeurs et leurs assistants aient subi les tests physiques mis sous la barre «éliminatoire». Depuis toujours, pour les arbitres (même excellemment préparés), le premier test physique, vu son importance stratégique avec son impact psychique, demeure «phobique», car pour décrocher le quitus et rester parmi ceux qui auront à officier la première partie d'une saison sportive, d'une phase finale internationale, continentale ou mondiale, la satisfaction (d'abord) au test physique est impérative.Seulement, au vu du nombre et de la qualité des recalés, la grande interrogation des observateurs, à la lumière des résultats physiques obtenus par certains arbitres directeurs qui étaient régulièrement désignés avec satisfaction, consignés pour les matchs considérés à hauts risques pour les Ligues 1 et 2 professionnelles ces deux dernières saisons et donc (réglementairement) prêts à faire partie de nos futurs «ambassadeurs», demeure quel sort sera réservé aux arbitres ayant été sifflés «hors-jeu» ' Et ce, après la «masse» de menaces lâchées avec acharnement par le chairman de la CFA, en direction de ses fidèles soldats, de rebrousser chemin en vidant le campement et de ne permettre à aucun «inapte» physiquement de rester avec ses collègues pour bénéficier des cours prévus pour expliquer les nouveaux textes FIFA et leur changement pour ce premier et très important regroupement.