Et si Ksar Kaoua de Ami Moussa, était l'un des bureaux ou société d'exportation des fauves d'Afrique Vers les cirques de l'empire romain?

Introduction:
L'énigmatique forme circulaire de ksar kaoua, , n'a pas encore révélé tous ces secrets.et si cette nouvelle hypothèse pourrait être confirmé dans l'avenir, ce bâtiment, représentera l'unique ruine en son genre, qui laisse des traces vivantes du commerce de fauves, dans toutes l'Afrique du Nord, a travers les découvertes archéologique et les histoires de chasses des fauves sauvages, bien organisé par nos courageux guerriers numides, et leurs bonne maîtrise de la chasse des bêtes sauvages vivante, souvent représenté dans différentes mosaïques comme hyppone et d'autres, et le transport d'éléphants de piaza Armerina, il est bien probable, qu'ils existaientt des sociétés de chasse, dressage et transport, des fonctionnaires impériaux qui s'occupaient des bêtes sauvages, dirigé par un procurator ad elephantos, des chasseurs et ouvriers de dressage, comme nous pouvons comparer et le constater dans la description architurale de ksar kaoua, les chambres d'ouvriers qui s'occupaient a l'alimentation des bêtes et la présence des auges en pierres ou mangeoires, pour les lions ou sangliers, décrites par le capitaine Marchand, la forme circulaire a pour fonction، un probable tri des animaux lors de leurs arriver dans cette ménagerie antique ou parc a animaux antique, cette ferme fortifié était une sorte de domaine impérial. Chaque partie de ces enclos, aura une probable fonction, un praepositus herbariarum, charge des animaux herbivores, ou praepositus camellorum, chargé de dressé des animaux qui peuvent être monté comme les cheveaux, quant aux lions et panthères, souvent très demandé vivantes pour les combats de cirque et gladiateur, avaient leurs propres enclos.
Il a été rapportés par les différentes hypothèses de chercheurs archéologues, depuis le premièr signalement par le chef de bataillon Bechon de caussade en 1851 et la première note et description de fouilles du capitaine marchand en 1859, A cherbonneau qui visita le site établira deux estampes et une notice géographique sur le cercle de ami Moussa qui restera dans les archives, en 1883 R de la Blanchere fait une nouvelle description appartir des plan de Marchand, en 1887 louis Demaeght établi une nouvelle description et publie pour la première fois en 1895 la description du capitaine Marchand, en 1900 un dossier de classement est présenté par la commune , Stéphane gsell qui établira une note, un arrêté de classement a été approuvée le 14 janvier 1901.
Si L'écriture qui se trouvait sur la clef de voûte est un indice fondamental pour l'interprétation de l'énigme de se bâtiment antique, une seule lecture fut retenu celle de R la Blanchére qui a été confirmé, par le capitaine flick et S.Gsell, les deux autres ont été considéré erroné.
On peut lire se qui suit:
"SPES/IN DEO/FERINI/AMEN".
nous mène à la traduction du latin au français
ESPOIR/ EN DIEU / FERINI/AMEN
D'après la plupart des archéologues qui attribut le nom de FERINI au propriétaire de ce bâtiment, d'autres vont jusqu'à tiré des noms étrangers comme Fertini ou Ferinus.mais seul FERINI sera retenu.
1-Spas/in Deo/ Fertni/lamjen: A. Cherbonneau:
2-Spes/in Deo/Peren/nis: R. de la Blanchère: 3-Spes/ in deo/Ferini! Amen. 143. S. Gsell, Les monuments.... p. 104 et id. Ephemeris epigraphica, VII, 536, qui précise: «FERINI»
Conclusion :
Depuis ma dernière visite dans la région et ma description de ksar jorane, situé dans le mont Mankoura du ouarensis , ce monument antique a forme circulaire unique a interpellé ma curiosité, suivant ma lecture de toute les hypothèses des chercheurs et archéologues eminants, qui se sont uniquement focalisé sur une très belle description détaillée avec plan de cette forteresse décrite comme une ferme fortifie ou latifundium, tous les indices recueillies coincident et nous ramène vers une nouvelle hypothèse, qui se base sur la vraie fonction de cette station romaine qui ne pouvait être qu'un Parc d'animaux sauvages capturé vivant, pour être transportés sur des chariots a Cages, Vers les Cirques de Cherchell et Tipasa ou vers l'Empire romain dans les autres contrées d'Europe !
1- /FERINi / qui serait le premier indice :
tous simplement un nom, qui fait référence a une fauve sauvage, dans le sens de férocité, bien sûr cela paraît étonnant, que la plupart des archéologues, l'on attribué a un propriétaire riche et ont complètement négliger un indice aussi important,
2-Découverte archéologique deuxième indice :
Aussi négligé, pourtant les découvertes archéologique du deuxième indice nous atesttent bien la présence d'animaux féroce, et cela nous le confirme bien, les découvertes pendant les fouilles, que le capitaine Marchand a effectué en 1859
1° - des os humains.
2° - des os d'éléphants ou d'animaux de grande espèces !
3° - la moitié d'un œuf d'autruche.
4° - des débris de poteries.
5° - un morceau de mosaïque commune sous l'arceau qui l'a préservé, une petite pièce de cuivre à effigie effacée.
3- le troisième indice confirme bien l'hypothèse de chasse, les différents dessins découvert a l'intérieur, nous renseigne sur la nature et la fonction de cet édifices, qui remontrait a la moitié du 4 ème siècle, dans la période de la révolte de firmus et ça probable destruction par Théodose a moins que des secousses sismiques ont endommagé ca maçonnerie fragile, la découverte d'un dessin d'une gazelle ou antilope, un chasseur avec ça lance et son chien, ne laisse aucun Doute sur ça fonction de parc animalier sauvages dans l'antiquité.
Sources:
-Remarques sur le commerce des bêtes sauvages entre l'Afrique du Nord et l'Italie (IIe siècle avant J.-C., IVe siècle ap. J.-C.) [article]
(IIe siècle avant J.-C., IVe siècle ap. J.-C.)
François Bertrandy
-UNE MAISON-FORTE DU IVe SIÈCLE: LE KSAR EL-KAOUA (AMMI-MOUSSA, ALGÉRIE)
Jean Pierre Laporte

Tahraoui Fethi
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