Le vote sur la gestion des 'uvres sociales de l'éducation nationale prévu, mercredi prochain, continue de semer la controverse parmi les différents syndicats du secteur. A ce titre, le Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef) et le Conseil des lycées d'Algérie (Cla) appellent l'ensemble des travailleurs à voter pour une gestion décentralisée, c'est-à-dire au niveau des établissements, en votant à la faveur du bulletin numéro 2, le 7 décembre prochain. A travers un communiqué commun, les deux syndicats autonomes déplorent l'attitude du ministère de l'Education nationale et certains autres syndicats du secteur, qui, après de longues années de gestion «ravageuse» desdites 'uvres sociales, font tout pour maintenir une gestion centralisée d'une cagnotte estimée à 1.300 milliards de centimes. «Si depuis près de deux décennies, les travailleurs se sont battus pour l'abrogation de l'arrêté 94-158, c'est justement parce qu'il instaurait cette centralisation dans la gestion qui les a empêchés d'exercer leur contrôle et qui a ouvert la voie à des syndicalistes rentiers et à des personnes aux bras longs pour accaparer une «cagnotte» annuelle atteignant aujourd'hui plus de 1.300 milliards de centimes», lit-on dans ledit communiqué. Le Satef et le Cla, à travers ces déclarations, veulent déjouer un complot destiné à perpétuer la mainmise de certains syndicats, dont les tractations vont bon train pour bénéficier exclusivement de ces capitaux qui appartiennent à l'ensemble des travailleurs du secteur de l'Education nationale. «Personne n'est dupe, en dépit de déclarations fallacieuses, deux syndicats rêvant - pour l'un depuis longtemps et pour l'autre depuis peu - de prendre partout la place de la FNTE, sont en train de désigner et de faire campagne pour certains de leurs membres en vue de perpétuer la mainmise syndicale sur les 'uvres sociales par un malin jeu de billard», accusent-ils, tout en appelant les travailleurs à déjouer ces stratagèmes. Les deux syndicats plaident, en effet, pour la décentralisation de la gestion des 'uvres sociales du secteur de l'Education nationale, afin de les affranchir de toute tutelle syndicale apparente ou déguisée. Cela requiert une grande mobilisation de la part des travailleurs et des syndicalistes, dans la perspective du rapprochement de la gestion desdites 'uvres sociales du contrôle des travailleurs.
Le vote sur la gestion des 'uvres sociales de l'éducation nationale prévu, mercredi prochain, continue de semer la controverse parmi les différents syndicats du secteur. A ce titre, le Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef) et le Conseil des lycées d'Algérie (Cla) appellent l'ensemble des travailleurs à voter pour une gestion décentralisée, c'est-à-dire au niveau des établissements, en votant à la faveur du bulletin numéro 2, le 7 décembre prochain. A travers un communiqué commun, les deux syndicats autonomes déplorent l'attitude du ministère de l'Education nationale et certains autres syndicats du secteur, qui, après de longues années de gestion «ravageuse» desdites 'uvres sociales, font tout pour maintenir une gestion centralisée d'une cagnotte estimée à 1.300 milliards de centimes. «Si depuis près de deux décennies, les travailleurs se sont battus pour l'abrogation de l'arrêté 94-158, c'est justement parce qu'il instaurait cette centralisation dans la gestion qui les a empêchés d'exercer leur contrôle et qui a ouvert la voie à des syndicalistes rentiers et à des personnes aux bras longs pour accaparer une «cagnotte» annuelle atteignant aujourd'hui plus de 1.300 milliards de centimes», lit-on dans ledit communiqué. Le Satef et le Cla, à travers ces déclarations, veulent déjouer un complot destiné à perpétuer la mainmise de certains syndicats, dont les tractations vont bon train pour bénéficier exclusivement de ces capitaux qui appartiennent à l'ensemble des travailleurs du secteur de l'Education nationale. «Personne n'est dupe, en dépit de déclarations fallacieuses, deux syndicats rêvant - pour l'un depuis longtemps et pour l'autre depuis peu - de prendre partout la place de la FNTE, sont en train de désigner et de faire campagne pour certains de leurs membres en vue de perpétuer la mainmise syndicale sur les 'uvres sociales par un malin jeu de billard», accusent-ils, tout en appelant les travailleurs à déjouer ces stratagèmes. Les deux syndicats plaident, en effet, pour la décentralisation de la gestion des 'uvres sociales du secteur de l'Education nationale, afin de les affranchir de toute tutelle syndicale apparente ou déguisée. Cela requiert une grande mobilisation de la part des travailleurs et des syndicalistes, dans la perspective du rapprochement de la gestion desdites 'uvres sociales du contrôle des travailleurs.
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Posté Le : 04/12/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Mokrane Chebbine
Source : www.lemidi-dz.com