Il faut signaler que plusieurs journalistes et photographes de presse chargés de la couverture des travaux de ce procès sont restés derrière un portail en fer forgé, faute d'accréditation. Ils n'ont eu de cesse de revendiquer un droit consacré par tous les codes de l'information et d'accès à l'information. En vain. Ce qui a soulevé le courroux des confrères qui ont tout fait pour se faire entendre par les responsables. Les éléments des services de sécurité qui avaient la charge de filtrer l'accès au tribunal, se sont montrés intransigeants. «Ce sont les instructions. Pas un seul photographe dans l'enceinte, et pas un journaliste dans la salle d'audience sans accréditation», nous dit un officier de police.
La sécurité au féminin
Les femmes étaient très présentes hier aussi bien dans le dispositif sécuritaire que dans le corps de la protection civile. On peut même dire qu'elles étaient majoritaires. Celles qui semblent avoir eu le plus de pain sur la planche, et sans le moindre doute, ce sont les femmes de la Protection civile, puisque, plusieurs évanouissements ont été enregistrés.
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Posté Le : 03/04/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R K
Source : www.infosoir.com