A voir le pain
servi dans des camionnettes pas du tout propres, puis revendu dans des
conditions lamentables par les épiceries qui l'exposent à toutes les bactéries,
à voir nos légumes étalés à même le sol comme dans ces marchés du sud du
continent, des boissons gazeuses exposées au soleil et à la lumière qui, de
part leur composition, deviennent souvent dangereuses pour le consommateur, des
viandes abattues clandestinement dans les marchés hebdomadaires, côtoyant un
poisson qui a tourné de l'Å“il depuis trop longtemps, sans parler de ces
fast-foods, gargotes de fortunes et autres produits d'importation que les
revendeurs refusent de retirer de la vente sous pretexte qu'aucune apparence
extérieure de toxicité n'est apparente, on se demande si la santé du
consommateur biskri est protégée.
En sus des
services du contrôle de la qualité des produits, ne faudrait-il pas impliquer
également les services de santé, voire créer un service spécialisé de contrôle
hebdomadaire des produits de large consommation en offrant des emplois
permanents à l'armada de chômeurs parmi les biologistes ?
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Posté Le : 24/06/2009
Posté par : sofiane
Ecrit par : H L
Source : www.lequotidien-oran.com