Algérie

Erreur impardonnable dans le sujet de français



Erreur impardonnable dans le sujet de français
Le sujet de français proposé, mardi, aux candidats à l'examen du baccalauréat, filières lettres et philosophie, comporte une erreur de conjugaison monumentale : «Mais les discussions ne doivent pas «restées» cantonnées dans l'enceinte de la convention de l'ONU sur le climat (?)».Cette phrase est tirée du cinquième paragraphe relevant du premier sujet à traiter et qui est un texte extrait du journal Le Monde du dimanche 29 au lundi 30 septembre 2013, sous la plume de Stéphane Foucart. Le verbe «rester» a été conjugué et accordé au sujet en prenant à tort la marque du féminin pluriel au moment où les règles basiques de la langue le soumettent à l'infinitif, pour la bonne raison qu'il est précédé par un premier verbe que le concepteur du sujet (est-ce l'erreur de l'auteur de l'article ') a apparemment pris pour l'auxiliaire être. L'erreur, si elle n'influe en rien sur les réponses des candidats aux questions posées, est inacceptable d'autant plus qu'elle s'est glissée dans un sujet destiné aux littéraires.




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