Recep Tayyip Erdogan, réélu le 24 juin à la tête de l'Etat turc, a prêté serment lundiaprès-midi avec des pouvoirs présidentielsaccrus, qu'il dit vouloir utiliser pour fairede la Turquie une grande puissance économique.Recep Tayyip Erdogan, réélu le 24 juin à la tête de l'Etat turc, a prêté serment lundiaprès-midi avec des pouvoirs présidentielsaccrus, qu'il dit vouloir utiliser pour fairede la Turquie une grande puissance économique.
"En tant que président, je jure sur monhonneur et mon intégrité, devant lagrande nation turque, d'oeuvrer danstoutes mes capacités à préserver et à exalter la gloire et l'honneur de la Républiquede Turquie, et de remplir les devoirs quisont les miens, en toute impartialité", a-tildit devant les députés.
Après cette prestation de serment devantle Parlement, le président devait prendrepart à une cérémonie au vaste palais présidentielqu'il a fait construire dans la capitale,Ankara.Dans la soirée, il annoncera la compositionde son gouvernement, une équipe resserréedont le nombre de portefeuilles doitêtre ramené de 20 à 16.La réforme constitutionnelle entrée envigueur lundi supprime le poste dePremier ministre et autorise le président àformer ou à dissoudre le gouvernementmais aussi à limoger les membres de lafonction publique sans l'approbation duParlement. Recep Tayyip Erdogan, aannoncé vendredi que ses ministres neseraient pas forcément issus des rangs parlementaires de sa formation islamoconservatrice, le Parti de la justice et dudéveloppement (AKP).
"En tant que président, je jure sur monhonneur et mon intégrité, devant lagrande nation turque, d'oeuvrer danstoutes mes capacités à préserver et à exalter la gloire et l'honneur de la Républiquede Turquie, et de remplir les devoirs quisont les miens, en toute impartialité", a-tildit devant les députés.
Après cette prestation de serment devantle Parlement, le président devait prendrepart à une cérémonie au vaste palais présidentielqu'il a fait construire dans la capitale,Ankara.Dans la soirée, il annoncera la compositionde son gouvernement, une équipe resserréedont le nombre de portefeuilles doitêtre ramené de 20 à 16.La réforme constitutionnelle entrée envigueur lundi supprime le poste dePremier ministre et autorise le président àformer ou à dissoudre le gouvernementmais aussi à limoger les membres de lafonction publique sans l'approbation duParlement. Recep Tayyip Erdogan, aannoncé vendredi que ses ministres neseraient pas forcément issus des rangs parlementaires de sa formation islamoconservatrice, le Parti de la justice et dudéveloppement (AKP).
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Posté Le : 11/07/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com