Algérie

Erdogan affiche ses ambitions



Les relations algéroturques amorcent, incontestablement,un nouveau tournant.A la faveur de lavisite du Président turc, Recep TayyipErdogan, en Algérieles deux pays ont, eneffet, exprimé ouvertement leur volonté d'aller del'avant et d'impulser une nouvelle dynamique à leur coopération.Les relations algéroturques amorcent, incontestablement,un nouveau tournant.A la faveur de lavisite du Président turc, Recep TayyipErdogan, en Algérieles deux pays ont, eneffet, exprimé ouvertement leur volonté d'aller del'avant et d'impulser une nouvelle dynamique à leur coopération.
Cela s'est, en tout cas, clairement manifesté hier à l'occasion de la tenue du forum d'affairesalgéro-turc. Présidé par lePrésident turc et le Premierministre, Ahmed Ouyahia, cette rencontre, à laquelle ont assisté pas moins de 200 hommes d'affaires des deux pays et les officiels,s'est voulue une opportunité pour booster leurs relations.
A l'appel de la partie algérienne pour le renforcement de l'investissementturc en Algérie, le Président Recep Tayyip Erdogan a immédiatement souscrit à cette doléance ensoutenant que son payscompte multiplier levolume des échanges économiquespour le porter, à long terme, à 10 milliards de dollars alors qu'il n'est, actuellement, que de 3,5milliards de dollars.Devant les hommes d'affairesturcs et la délégation officielle ayant accompagnéle président Ergoban,la partie algérienne aappelé de tous ses voeux au développement de la coopération entre les deux pays. Tout a tour le representant de l'Agence nationale pour le développement des investissements (Andi), celui de la Chambre algérienne de commerce et d'Industrie (Caci), le ministre de l'Industrie , Youcef Yousfi, et le Premier ministre,
Ahmed Ouyahia, se sontsuccédé à la tribune de lasalle des conférences de l'hôtel Sheraton d'Algerpour presenter tous les avantages qu'offre le marché algérien aux investisseurs turcs. Le responsable de l'Andi a surtout axé son intervention sur la volonté de l'Algérie de développer la production nationale ce qui nécessite un apport considérable en matière d ' i n v e s t i s s e m e n t .
"L'Algérie est toute proche pour celui qui a vision à long terme" dira ce responsable après avoir brossé untableau exhaustif sur la réglementation algérienne et les infrastructures dont dispose le pays. C'est dans le même sens qu'a abondé Mohamed Laïd Benamor, président de la Caci, lequel a plaidé en faveur de l'augmentation du volume des investissements turcs. Laïd Benamor a fait montre de l'intérêt des hommes d'affaires algériens pour bénéficier de l'expérience des Turcs qui excellent dans le créneau porteur des importations. "Nous sommes prêts a faire de l'Algérie une base pour l'invasion du marché africain" a soutenu l'intervenant.
"Nous voulons des relations d'excellence et un partenariat d'exception" a indiqué, de son coté, Youcef Yousfi,qui a mis en avant les avantages du marche algérien. Dans une brève interventionle Premier ministreAhmed Ouyahia a lui aussi appelé au renforcement des relations entre les deux pays afin qu'elles atteignent le stade "d'excellence". A tous ses appels, le président turc s'est montré très favorable. D'ailleurs il a clairement indiqué ne pas être satisfait du volume des échanges ommerciaux entre les eux pays qui sont, pourrappel, de l'ordre de 3,5 milliards de dollars.
"On veut arriver à 5 milliards de dollars dans un premier temps et 10 milliards de dollars par la suite" dira le chef d'Etat turc. Et d'ajouter que son pays "est prêt à accompagner l'Algérie pour faire face à la baisse de ses revenus pétroliers etla diversification de son économie". Recep Tayyip Erdogan, qui a annoncé la conclusion d'un accord d'1 milliard de dollars devant permettre à la Sonatrach de pénétrer le marché turc, a considéré que l'Algérie est un "havre de stabilité"
Cela s'est, en tout cas, clairement manifesté hier à l'occasion de la tenue du forum d'affairesalgéro-turc. Présidé par lePrésident turc et le Premierministre, Ahmed Ouyahia, cette rencontre, à laquelle ont assisté pas moins de 200 hommes d'affaires des deux pays et les officiels,s'est voulue une opportunité pour booster leurs relations.
A l'appel de la partie algérienne pour le renforcement de l'investissementturc en Algérie, le Président Recep Tayyip Erdogan a immédiatement souscrit à cette doléance ensoutenant que son payscompte multiplier levolume des échanges économiquespour le porter, à long terme, à 10 milliards de dollars alors qu'il n'est, actuellement, que de 3,5milliards de dollars.Devant les hommes d'affairesturcs et la délégation officielle ayant accompagnéle président Ergoban,la partie algérienne aappelé de tous ses voeux au développement de la coopération entre les deux pays. Tout a tour le representant de l'Agence nationale pour le développement des investissements (Andi), celui de la Chambre algérienne de commerce et d'Industrie (Caci), le ministre de l'Industrie , Youcef Yousfi, et le Premier ministre,
Ahmed Ouyahia, se sontsuccédé à la tribune de lasalle des conférences de l'hôtel Sheraton d'Algerpour presenter tous les avantages qu'offre le marché algérien aux investisseurs turcs. Le responsable de l'Andi a surtout axé son intervention sur la volonté de l'Algérie de développer la production nationale ce qui nécessite un apport considérable en matière d ' i n v e s t i s s e m e n t .
"L'Algérie est toute proche pour celui qui a vision à long terme" dira ce responsable après avoir brossé untableau exhaustif sur la réglementation algérienne et les infrastructures dont dispose le pays. C'est dans le même sens qu'a abondé Mohamed Laïd Benamor, président de la Caci, lequel a plaidé en faveur de l'augmentation du volume des investissements turcs. Laïd Benamor a fait montre de l'intérêt des hommes d'affaires algériens pour bénéficier de l'expérience des Turcs qui excellent dans le créneau porteur des importations. "Nous sommes prêts a faire de l'Algérie une base pour l'invasion du marché africain" a soutenu l'intervenant.
"Nous voulons des relations d'excellence et un partenariat d'exception" a indiqué, de son coté, Youcef Yousfi,qui a mis en avant les avantages du marche algérien. Dans une brève interventionle Premier ministreAhmed Ouyahia a lui aussi appelé au renforcement des relations entre les deux pays afin qu'elles atteignent le stade "d'excellence". A tous ses appels, le président turc s'est montré très favorable. D'ailleurs il a clairement indiqué ne pas être satisfait du volume des échanges ommerciaux entre les eux pays qui sont, pourrappel, de l'ordre de 3,5 milliards de dollars.
"On veut arriver à 5 milliards de dollars dans un premier temps et 10 milliards de dollars par la suite" dira le chef d'Etat turc. Et d'ajouter que son pays "est prêt à accompagner l'Algérie pour faire face à la baisse de ses revenus pétroliers etla diversification de son économie". Recep Tayyip Erdogan, qui a annoncé la conclusion d'un accord d'1 milliard de dollars devant permettre à la Sonatrach de pénétrer le marché turc, a considéré que l'Algérie est un "havre de stabilité"


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