Equipe nationale

Le Congo pour boucler un semblant de stage L’équipe nationale de football conclura son stage parisien en début de cette soirée avec une rencontre amicale face à la République démocratique du Congo, la deuxième sous l’ère de Rabah Saadane, après avoir affronté le Mali en fin d’année précédente. Le rendez-vous d’aujourd’hui s’avère une dernière répétition générale avant le coup de starter des doubles éliminatoires de la CAN et du Mondial 2010, et la première sortie de ces éliminatoires en fin mai prochain face au Sénégal.Il faut dire, toutefois, que l’actuel regroupement des «Verts» n’aura pas atteint tous ses objectifs. Et pour cause, les perturbations survenues dans l’arrivée des sélectionnés au lieu du stage, alors que d’autres, à l’image de Saïfi et Hemdani, ont carrément déclaré forfait pour une raison ou une autre. Cette situation a mis Rabah Sâadane dans tous ses états, lui qui a déjà avoué qu’un grand travail de cohésion attend ses poulains, en prévision du marathon de rencontres officielles qui attend son team dans les semaines à venir, et sur lesquelles dépendra, en grande partie, l’avenir de la sélection algérienne dans ces éliminatoires. Toujours est-il que le rendez vous d’aujourd’hui, sera certainement mis à profit par le driver national pour évaluer les capacités des nouveaux joueurs sélectionnés, à l’image de Harek (Bastia), Djebbour (Grèce) et Hamidi (MC Saïda). Le stade retenu pour abriter la rencontre de ce soir pose aussi un problème du fait qu’il est très exigu d’où les craintes d’éventuels débordements. Cela nous pousse à prédire des mesures de sécurité importante de la part des autorités locales françaises afin de parer à toutes les hypothèses. Par ailleurs, on apprend de sources autorisées au niveau de la FAF que les «Verts» ont de grandes chances d’être domiciliés à Blida, en attendant la réouverture du stade «5 Juillet». La décision sera prise officiellement, au mois de mai prochain, sachant que jusque-là, le sélectionneur national a longtemps hésité entre les stades de Blida et Annaba. F. Karim