Cela dit, le vendredi 13 novembre dans la soirée, une série d'attaques terroristes simultanées ensanglante la capitale française, faisant plus de 130 morts et 350 blessés : boulevard Voltaire, dans le 11e arrondissement, un commando composé de trois djihadistes fait irruption dans la salle de spectacles le Bataclan et met fin au concert du groupe américain Eagles of Death Metal.Aux cris de «Allah ou-Akbar», les tueurs tirent sur tout ce qui bouge : il y a environ 90 morts. Les forces de police interviennent deux heures plus tard, liquident les terroristes... et aussi probablement un certain nombre de spectateurs. A propos de ces djihadistes, il y a lieu de noter qu'ils étaient trois selon le procureur alors que les médias, sur la base de témoignages des rescapés, avaient tout d'abord parlé de huit djihadistes. Autre décalage entre les indications du parquet et les témoignages : le procureur fait état d'une «prise d'otages», alors que les témoins n'ont rien vu de tel. François Hollande, qui assistait au match, est évacué en catastrophe et prononce à la télévision un discours dont le texte aurait sans doute été préparé longtemps à l'avance. «Emouvant mais ferme», il proclame l'état d'urgence qui implique en principe un couvre-feu total, la suppression des libertés individuelles (dans la mesure où il en existe encore) et la paralysie complète de toutes les activités. Bref, une situation comme à Boston en avril 2013. On annonce la fermeture des frontières, alors que ces mêmes frontières sont restées grandes ouvertes pendant des mois pour laisser s'engouffrer sans le moindre contrôle le tsunami migratoire voulu et organisé par ceux-là mêmes qui créent et manipulent la terreur djihadiste, laquelle en l'occurrence devrait plutôt s'appeler «djewhadiste» : et maintenant, en bons Charlies ou Charlots, tout le monde va se ranger derrière le gouvernement pour l'aider à combattre les terroristes islamistes, dont Fabius (ministre des Affaires étrangères) disait il n'y a pas si longtemps qu'ils « font du bon boulot en Syrie»... Comme le signale Le Point, les propriétaires du Bataclan sont juifs, ce qui aurait motivé, paraît-il, le choix des terroristes. Le «hic» de cette argumentation : ce ne sont pas les propriétaires de la salle qui ont été massacrés, mais bien des goys de spectateurs. S'ils avaient voulu s'en prendre aux Juifs, ce que leur «contrat de travail» ne prévoyait certainement pas, les islamistes auraient choisi un autre «spectacle» du Bataclan. Selon certaines sources, cette salle accueille régulièrement «des conférences ou des galas d'organisations juives, notamment le Magav, une unité de garde-frontières dépendant de la police d'Israël». On serait sans doute surpris (ou peut-être pas) si l'on savait combien de salles parisiennes ont des propriétaires juifs. C'est un secret bien gardé... En 2014, beaucoup de gens sont tombés des nues en apprenant que même le plus antisémitique de tous les théâtres de Paris, celui de Dieudonné, appartient en fait à des Juifs qui ont obtenu son expulsion. Un rappel : Daesh, qui revendique les attaques terroristes de Paris et que Hollande prétend combattre, est un enfant de la CIA et du Mossad (vidéo de 30 mn avec Thierry Meyssan). La France a activement contribué à renforcer ces tueurs et elle le fait encore aujourd'hui (des officiers français encadrent Daesh). (Suite et fin)
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Posté Le : 07/12/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Chérif Abdedaïm
Source : www.lnr-dz.com