«Un service, américain ou israélien, avec des complicités françaises, a sélectionné, inspiré, incité les frères Saïd et Cherif Kouachi à commettre l'opération Charlie.» De même que Atta avait obligeamment laissé son passeport dans les décombres du WTC, l'équipe de Charlie a oublié ses pièces d'identité en abandonnant sa première voiture ! Mais le ministre de l'Intérieur a été le premier, dès son arrivée sur les lieux, à affirmer que les tueurs étaient trois.Curieux, n'est-ce-pas '» A propos d'un slogan lancé par les commanditaires du crime, en hébreu : « Je suis Charlie» est l'acronyme de « Je suis Israël » - c'est le site sioniste JSS News qui le dit. Pour sa part, le journaliste d'investigations Thierry Meyssan se pose la question dans un artilce : «Qui a commandité l'attentat contre Charlie Hebdo '» Réponse : «La mission de ce commando n'a pas de lien avec l'idéologie djihadiste... C'est la stratégie du choc des civilisation conçue à Tel-Aviv et à Washington... Plutôt que de considérer cet attentat extrêmement meurtrier comme une vengeance islamiste contre le journal qui publia les caricatures de Mahommed et multiplia les unes antimusulmanes, il serait plus logique d'envisager qu'il soit le premier épisode d'un processus visant à créer une situation de guerre civile...» Si l'Opération Charlie n'est pas motivée par l'idéologie djihadiste, elle n'est pas non plus à usage strictement français - contrairement aux apparences. Le seul fait que des chaînes comme CNN ou la BBC consacrent aux événements autant d'attention que s'ils se déroulaient sous leurs fenêtres, prouve que tout est programmé et dirigé depuis un centre unique. Les mesures liberticides qui suivront ne toucheront pas seulement la France mais l'ensemble de l'Europe et des pays contrôlés par l'empire. Le 9 janvier, deux jours après la tuerie de Charlie Hebdo, la situation est de plus en plus confuse : quadrillage d'une zone rurale en Picardie (au nord-est de la capitale), chasse à l'homme infructueuse, encore un policier tué à Montrouge (banlieue sud), prises d'otages dans une imprimerie de Dammartin-en-Goële (près de l'aéroport de Roissy) et à la Porte de Vincennes (est de Paris) dans une épicerie Hyper Cacher. Les trois islamistes sont passés à la vitesse supérieure (hyper-antisémite). Ils sont partout à la fois et tiennent en haleine toutes les polices de France et de Navarre. Mais ce deuxième acte se termine très vite. Avant la fin de la journée, les forces spéciales du GIGN donnent l'assaut et tuent Amedy Coulibaly, le terroriste de la Porte de Vincennes (avec quatre de ses otages par-dessus le marché - pas grave, on dira que c'est lui qui les a abattus). Succès également à Dammartin, où les deux frères Kouachi sont liquidés par les flics. Mais là, il n'y avait pas d'otages, juste un employé de l'imprimerie qui se cachait et dont les islamistes ignoraient l'existence ; il a eu de la chance de s'en sortir. Reste encore la petite amie du «djihadiste» de Vincennes - et éventuellement d'autres complices que les services israéliens voudront bien «identifier» pour compléter le «réseau». Comme on dit à Hollywood : «The Show Must Go On.» En 2009, le terroriste Amedy Coulibaly, rencontrait Nicolas Sarkozy et espérait que le Président l'aiderait à se faire embaucher. Apparemment , maître Sarko a transmis le dossier aux services compétents... qui ont trouvé à Coulibaly un emploi sur mesure. (A suivre)
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 07/12/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Chérif Abdedaïm
Source : www.lnr-dz.com