Entre les appétits des uns et la voracité des autres

Sur terrain, nous avons remarqué que les autorités publique, tout grade confondus dans la wilaya de Mascara, se sont donnés le luxe de concéder des espaces verts existants sous forme de concession à des familles des élus nouvellement installés et autres gros bras connus sur la place publique.Pas question dans ce contexte déplorable d'inégalités sociales, malheureusement à notre grande désolation tout ce qui vient d'être manigancé par des mains expertes dans ce partage des gâteaux et de la cerise n'est qu'une facette de contourner la loi, et qui présente d'énormes écarts avec la réalité du terrain. Ajoutons aussi en disant que toutes les mesures de distributions des espaces verts qui étaient abandonnées a travers le chef-lieu de la wilaya n'avaient fait que permettre aux gens bien positionnés de s'y installer, d'où les mesures frappaient les uns et favorisaient les autres dans des cas d'irrégularités dans la gestion des dépendances du domaine public.
Prenant le cas du jeune Bendou Khaled, propriétaire sous forme de concession de la pépinière «La fleur de Mascara», sise au Jardin Sidi Mohamed Boudjellel, en face de la mosquée «El-Islah», et mitoyen avec le nouveau siège de la daïra, complètement abandonné, a pris rapidement un décor lunaire où la dégradation est visible. Malgré les instructions de l'ex-wali M. Ouled Salah Zitouni à l'actuel chef de la daïra de donner un coup de pouce pour alimenter ce jardin en eau, rien n'a été fait.
Voyant les directives non honorés par l'actuel chef de la Daïra de Mascara, qui a d'autres chats à fouetter, le concessionnaire dudit terrain accordé sous forme de contrat a donc lui-même pris le taureau par les cornes pour engager des travaux d'alimentation en eau potable. Dans un autre contexte, le terrain en question a vu des travaux d'Hercule lors de sa remise au jeune concessionnaire. Dans ce contexte déplorable, ce jardin a l'exemple des autres espaces vert qui résistent à la dégradation, ou la nuit qui ne porte plus, d'ailleurs, conseil, des couples sans domicile fixe et autres exhibitionnistes confondent buissons touffus et nids d'amour.
Il a fallu à Bendou Khaled une somme astronomique pour déblayer le terrain des détritus et autres bouteilles de bières cassés qui jonchaient le sol du jardin complètement saccagés. De ce qui precedé, apres avoir balisé et remis a neuf le jardin en question ou ?la verdure a repris le dessus', comme par enchantement, d' ou un entretien très soigné selon des codes esthétiques propre au jeune concessionnaire et qui le, font des jaloux.
En effet, au cours du moi d'Avril de l'année en cours et selon le jeune concessionnaire Bendou Khaled, qui s'est présenté à notre bureau sis à la maison de la presse, pour nous faire part de ses appréhensions après tant de labeur d''un bien du domaine public, qui satisfait pleinement les besoins d'intérêt collectif pour lesquels il a été affecté, en nous déclarant en ces termes :'J'ai reçu la visite d'un élu de l'assemblée populaire communale du chef lieu, nouvellement installé, qui m'a intimé l'ordre de débarrasser les deux paliers, et ce, pour le remettre a deux autres personnes pour en faire un kiosque a café et autres duperies.
L'absence de vision globale et de porteurs de petits projets a donc pris une autre tournure de la plupart des élus et autres responsables qui se sont sucrés a outrance par des pratiques voyoucrates.Il est honteux de la part de cet élu ou des ses élus imposé a la ville de Mascara, dont on a pas voulu citer le nom, par éthique et déontologie, commence sérieusement a créer la zizanie sur la place publique.
Cette mutation conceptuelle des espaces verts dans la wilaya de Mascara, à vu selon des informations qui circulent, que des familles des élus au premier degré et autres grosses pointures des deux sexes qui se sont vu remettre sur un plateau d'argent des espaces verts ,des kiosques et autres sucreries ,et ce, en l'absence notable des jeunes chômeurs et autres citoyens de la douleur. C'est honteux !
Dans ce contexte de fumisterie, L'actualité en témoigne au travers des soulèvements successifs. La révolte gronde - La colère se cristallise dans le monde de l'entreprise où se focalise le nouvel aspect des inégalités Quelles réponses peut-on imaginer à court terme mais aussi à long terme devant ces fais d'armes en ces temps de crise économique et sociale qui déstabilise notre pays via d'irascibles incompétent en la matière, qui ne savent pas faire la différence entre les torchons a les serviettes, en usant de leurs pouvoirs arbitraires '
Pour conclure, devant ces inégalités incohérentes on peut remonter en amont pour découvrir avec stupeur que cette situation toute honte bue se déroule devant l'opinion publique et surtout les jeunes chômeurs diplômés ou non jetés en pâture comme de vulgaires ?apatrides', ou ces derniers intériorisent précocement l'idée qu'ils n'ont pas d'avenir dans notre société c'est-à-dire leurs pays. On mérite les élus et les responsables qu'on nous a imposés de force .N'en déplaise a certains énergumènes !