Algérie

"Encourager les compétences nationales" Amar Ghoul, ministre des Travaux publics au SITP 2011



Accompagné du vice-Premier ministre, Noureddine Zerhouni, le minstre des Travaux publics, Amar Ghoul, a visité les différents stands et pavillons des entreprises exposantes au Salon international des travaux publics, ouvert, hier, au Palais des expositions de la Safex et qui durera jusqu'au 24 novembre courant.
"Le partenariat doit être conditionnel, c'est-à-dire en se référant à nos propres règles et normes. Il s'agit d'un partenariat exceptionnel qui tient compte, bien entendu, de la coopération nécessaire avec les entreprises étrangères. Le marché algérien est ambitieux et vaste et se situe en complémentarité avec les partenaires internationaux". Les entreprises publiques et privées doivent recrutrer des compétences nationales, selon Amar Ghoul, qui donne la primauté à la collaboration entre les secteurs public et privé. Il s'agit de donner, a-t-il dit, "un élan porteur quant à la consolidation des multinationales. Il faut développer les ressources humaines et donner une chance aux ingénieurs et cadres algériens". Aussi, «il faut compter sur soi-même, et le partenariat avec les entreprises étrangères se situe au niveau de nos besoins et des réalisations complexes, et en fonction de la spécificité de nos projets". Pour Ghoul, l'important consiste à tirer profit de l'expertise et des connaissances scientifiques, ainsi que du savoir-faire des partenaires internationaux. L'Algérie a besoin, certes, de la technologie des entreprises étrangères, mais les pouvoirs publics veulent encourager et dynamiser les ressources humaines techniques nationales tout en participant à la création de richesses et d'emplois. Autrement dit, Ghoul privilégie les compétences nationales, car, il estime que le développement économique requiert, également, la contribution des travailleurs algériens tout en promouvant la production nationale et le label algérien. Ainsi, la maîtrise des missions de développement durable doit être l'oeuvre des compétences nationales, mieux placées pour assurer le suivi et le bon fonctionnement des projets et de la maintenance des infrastrutures et des réalisations économiques.
Accompagné du vice-Premier ministre, Noureddine Zerhouni, le minstre des Travaux publics, Amar Ghoul, a visité les différents stands et pavillons des entreprises exposantes au Salon international des travaux publics, ouvert, hier, au Palais des expositions de la Safex et qui durera jusqu'au 24 novembre courant.
"Le partenariat doit être conditionnel, c'est-à-dire en se référant à nos propres règles et normes. Il s'agit d'un partenariat exceptionnel qui tient compte, bien entendu, de la coopération nécessaire avec les entreprises étrangères. Le marché algérien est ambitieux et vaste et se situe en complémentarité avec les partenaires internationaux". Les entreprises publiques et privées doivent recrutrer des compétences nationales, selon Amar Ghoul, qui donne la primauté à la collaboration entre les secteurs public et privé. Il s'agit de donner, a-t-il dit, "un élan porteur quant à la consolidation des multinationales. Il faut développer les ressources humaines et donner une chance aux ingénieurs et cadres algériens". Aussi, «il faut compter sur soi-même, et le partenariat avec les entreprises étrangères se situe au niveau de nos besoins et des réalisations complexes, et en fonction de la spécificité de nos projets". Pour Ghoul, l'important consiste à tirer profit de l'expertise et des connaissances scientifiques, ainsi que du savoir-faire des partenaires internationaux. L'Algérie a besoin, certes, de la technologie des entreprises étrangères, mais les pouvoirs publics veulent encourager et dynamiser les ressources humaines techniques nationales tout en participant à la création de richesses et d'emplois. Autrement dit, Ghoul privilégie les compétences nationales, car, il estime que le développement économique requiert, également, la contribution des travailleurs algériens tout en promouvant la production nationale et le label algérien. Ainsi, la maîtrise des missions de développement durable doit être l'oeuvre des compétences nationales, mieux placées pour assurer le suivi et le bon fonctionnement des projets et de la maintenance des infrastrutures et des réalisations économiques.


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