Algérie

En larmes, Ali-Moussa, Badji et Bakhti et les autres ont accompagné Lefkir à sa dernière demeure



En larmes, Ali-Moussa, Badji et Bakhti et les autres ont accompagné Lefkir à sa dernière demeure
Tahmi présent, ainsi que Hannachi, Allik, Kerbadj, Laïb et Kaci-Saïd. En 1995, c'était Lefkir qui avait pleuré pour Badji.L'ancien président du CR Belouizda, Mohamed Lefkir, a été inhumé hier au cimetière de Sidi M'hamed en présence d'une foule nombreuse. Ayant marqué, lors de son passage, l'histoire du club algérois, il était attendu qu'ils seraient très nombreux à venir lui rendre un dernier hommage et assister à sa mise sous terre. En plus des anciens joueurs du Chabab qu'il avait sous sa coupe, nombreux à s'être déplacés au cimetière, il fallait noter également la présence d'une foule de supporters anonymes, reconnaissants de son inestimable apport au club.Tahmi présent, ainsi que Hannachi, Allik, Kerbadj, Laïb et Kaci-SaïdD'ailleurs, la présence du ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Tahmi, illustre l'apport du défunt au sport algérien de manière générale. Des présidents de club l'ayant connu et côtoyé, à l'image de Hannachi, Allik, Laïb, Kerbadj, sont venus, ainsi que Kaci-Saïd et Redjradj, représentants le MCA et la JSMB, sans oublier le président actuel du CRB, Malek, ainsi que le capitaine d'équipe, Meguehout. D'anciens entraîneurs et joueurs étaient également là tels Khalef, Kalem, Kouici ou Zenir. En marge de l'enterrement, des anecdotes foisonnaient entre les présents sur l'époque où le regretté Lefkir était président du CRB.En 1995, c'était Lefkir qui avait pleuré pour BadjiSi l'émotion était palpable chez tous les présents, elle l'était davantage parmi les anciens joueurs du Chabab. Ishak Ali-Moussa, Fayçal Badji et Kamel Bakhti étaient inconsolables, pleurant à chaudes larmes un président qui les avait traités comme ses propres fils et qui avait veillé à ce qu'ils ne manquent de rien, ce qui explique le grand niveau atteint par le CRB au début du nouveau millénaire. D'ailleurs, c'est Lefkir qui avait ramené Badji au Chabab en 1995 et on se rappelle des larmes qu'il avait versées en pleine conférence de presse au siège du club, au Caroubier, alors que le président du CSC, Mohamed Boulhabib, refusait au départ de lui céder le joueur. Hier, c'est Badji qui a pleuré la perte de son second père.




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