Algérie

En bref'



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Syrie : droits de l'Homme - Des commandants syriens ont ordonné d'ouvrir le feu aveuglément sur des manifestants sans armes, a indiqué Human Rights Watch (HRW) dans un rapport publié ce jeudi matin, réalisé à partir d'entretiens avec des soldats ayant fait défection. Ces déserteurs ont cité le nom de 74 officiers militaires et des renseignements «qui auraient ordonné, autorisé ou toléré des opérations de grande ampleur de meurtres, de torture et des arrestations illégales», a indiqué l'organisation de défense des droits de l'Homme dans un communiqué.
Egypte : élections - Les Egyptiens se rendaient ce jeudi matin aux urnes pour le second jour consécutif afin d'élire leurs députés dans le deuxième tiers de l'Egypte, après une première phase des législatives largement remportée par les islamistes. La première phase du vote, qui avait concerné notamment Le Caire, Alexandrie (nord) ou Louxor (sud) avait été marquée par un raz de marée des formations islamistes, qui avaient remporté au total 65% des suffrages, et entendent désormais consolider leurs gains.
Côte d'Ivoire : législatives - Le parti du chef de l'Etat ivoirien, Alassane Ouattara, était en passe, hier, mercredi, de remporter la majorité absolue aux législatives, un scrutin boycotté par le camp de l'ex-Président, Laurent Gbagbo, après la crise meurtrière de 2010-2011. Après avoir donné au compte-gouttes environ 150 résultats en trois jours, sur 255 sièges à pourvoir, la Commission électorale indépendante (CEI) a annoncé qu'elle dévoilerait ce jeudi matin la totalité des chiffres des élections.
Maroc : politique - Des dirigeants du Parti du progrès et du socialisme (PPS, 18 sièges ex-communiste) ont dénoncé, hier, mercredi, la décision de leur formation politique de participer au prochain gouvernement marocain dirigé par le Parti de la justice et du développement (PJD, islamiste modéré). Les contestataires ont estimé que cette décision était «aux antipodes de la ligne politique de leur parti et de son identité idéologique».
Mauritanie : armée - L'armée de Mauritanie doit cesser de faire de la politique et «défendre le pays menacé par le terrorisme», a déclaré le chef de file de l'opposition mauritanienne, Ahmed Ould Daddah, au cours d'un meeting, hier, mercredi, à Nouakchott. «L'armée doit retourner dans ses casernes et sur les frontières pour défendre le pays menacé par le terrorisme», a lancé Ould Daddah devant des foules venues à l'appel de la Coordination de l'opposition démocratique (COD), coalition de dix formations.


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