Algérie

en bref'



en bref'
Malawi : décès du président
Les autorités malawites ont officiellement annoncé ce matin samedi le décès du président Bingu wa Mutharika, et ont précisé qu'elles respecteraient la Constitution, qui prévoit que le pouvoir doit revenir à la vice-présidente. «Nous sommes tristes d'annoncer que le président du Malawi est mort. (...) Il va y avoir dix jours de deuil national et la Constitution sera strictement respectée pour la transition », a déclaré le secrétaire de la présidence et du gouvernement.Victime d'un infarctus, Bingu wa Mutharika, 78 ans, s'était effondré jeudi dernier au palais présidentiel et avait été transporté inconscient à l'hôpital central de la capitale Lilongwe.
Gaza : exécution d'un espion
Le mouvement palestinien Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, a exécuté ce matin samedi un Palestinien accusé de «collaboration» avec Israël. Selon des sources de sécurité au sein du Hamas, le « collaborateur » exécuté était du camp de réfugiés de Bureij. Il s'agit de la première exécution de l'année à Gaza pour collaboration avec Israël. Les dernières exécutions pour ce motif remontaient à juillet 2011, quand deux Palestiniens avaient été pendus. Les forces de sécurité israéliennes utilisent couramment des informateurs palestiniens pour tenter d'éviter des attaques et d'organiser des assassinats de hauts responsables.
Yémen : transition
Le commandant des forces aériennes yéménites, demi-frère de l'ancien président Ali Abdallah Saleh, a rejeté son limogeage décidé hier vendredi par le président de transition Abd Rabbo Mansour Hadi. Le général Mohamed Saleh al-Ahmar, démis par décret présidentiel, a refusé de partir tant que plusieurs hauts responsables du ministère de la Défense, dont le ministre lui-même, n'auront pas été limogés. Dans un ordre adressé à ses troupes, le général al-Ahmar a demandé de « ne pas appliquer la décision présidentielle » tant que le ministre Mohamed Nasser Ahmed et le chef d'état-major Ali al-Achwal resteraient en poste. Il réclame en outre l'exil de plusieurs figures de la puissante tribu des Hached.
Egypte : présidentielle
L'ex-chef du Renseignement et vice-président égyptien Omar Souleimane a annoncé hier vendredi qu'il était candidat à la présidentielle prévue en mai, pour répondre selon lui à un « appel» populaire. Cette annonce surprise intervient deux jours avant la clôture dimanche dernier du dépôt des candidatures. M. Souleimane, un pilier du régime de Hosni Moubarak, avait pourtant affirmé qu'il ne serait pas candidat. Dans la journée, des Egyptiens avaient manifesté dans un quartier du Caire pour l'appeler à se présenter. «L'appel que vous avez lancé aujourd'hui est un ordre et je suis un soldat qui n'a jamais désobéi à un ordre de sa vie», a-t-il affirmé.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)