En bref

Plus de 10 000 affaires sous différentes formes de criminalité traitées durant le mois de mars
Plus de 10 000 affaires liées aux diverses formes de criminalité ont été enregistrées en mars dernier à travers tout le territoire national, soit une hausse de 4,24% par rapport au mois de février, indiquait, jeudi dernier, un communiqué de la Direction générale de Sûreté nationale (DGSN). La DGSN a enregistré durant le mois de mars écoulé 10 720 affaires liées aux diverses formes de criminalité
ayant entraîné l'implication de 7 150 personnes, soit une hausse de 4,24% par rapport au mois de février 2012, souligne la même source. Les atteintes aux personnes dominent les infractions avec un nombre de 5 833 affaires dans lesquelles 4 829 personnes ont été mises en cause, suivies des affaires liées aux atteintes aux biens avec 4 711 affaires impliquant 1 973 individus, précise le communiqué de la DGSN. La hausse relevée dans le nombre des affaires enregistrées et ayant induit une hausse des affaires résolues estimées à 4,61% reflète en effet, les efforts consentis par les services de police dans la lutte contre la criminalité, précise-t-on de même source.
Béjaïa : remise en l'état de la RN 24 dans un délai de 10 jours
La partie de la RN.24 reliant Béjaïa à Azzefoun, localisée à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Béjaïa, siège dernièrement d'un important affaissement, sera remise en l'état dans un délai de 10 jours, a indiqué jeudi dernier le directeur de wilaya des travaux publics. «L'entreprise devant intervenir est sur place et devrait engager les travaux dès le début de la semaine prochaine», a précisé M.Ourabah à l'APS, signalant que «l'incident, au-delà des désagréments causés aux usagers de la route, a surtout valu par son effet spectaculaire». «L'affaissement a provoqué, en effet, un trou béant de neuf mètres de profondeur et d'un diamètre de 120 mètres, qui a nécessité la fermeture complète de cet axe, quatre jours durant», a-t-il rappelé. «Un accès de fortune, ouvert aux véhicules légers et aux poids lourds sans charge a été mis en place à proximité de la voie affectée. Bien que difficile, la circulation y est rétablie», a-t-il indiqué. «Actuellement, nous entreprenons des études géotechniques pour déterminer les causes à l'origine de cet affaissement et identifier la nature du sol pour dégager la solution à mettre en 'uvre, afin de sécuriser définitivement la voie à reconstruire», a expliqué M. Ourabah.