Algérie

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Niger?: élections présidentielle l Le président sortant Mahamadou Issoufou est largement favori au second tour de la présidentielle ce dimanche au Niger, sur fond de menace djihadiste et de crainte de troubles politiques en l'absence du candidat d'opposition , dont le camp appelle au boycott. L'issue ne fait guère de doute : le chef de l'Etat sortant, 64 ans, qui brigue un deuxième quinquennat à la tête de ce pays ouest-africain parmi les plus pauvres du monde, devrait être réélu. Surnommé «le Lion», M. Issoufou a obtenu 48,43% au premier tour et négocié le ralliement de candidats devant lui permettre de franchir la barre des 50% sans problème.Guinée-Bissau-UA?: dialogue l Une mission du Conseil de paix et sécurité de l'Union africaine a appelé, hier samedi, l'ensemble des autorités politiques et militaires de Guinée-Bissau à «créer un climat propice au dialogue» afin de trouver entre elles une solution à la crise que traverse le pays depuis l'été dernier. Le 26 février, le Conseil de sécurité a adopté à l'unanimité une résolution sur la Guinée-Bissau, se déclarant notamment «préoccupé par les tensions politiques et institutionnelles persistantes entre le président, le Premier ministre, le président du Parlement et les responsables des partis politiques».Congo?: élections l Le président Denis Sassou Nguesso brigue un nouveau mandat, ce dimanche, face à huit candidats, dans un climat tendu après l'annonce d'une coupure totale des communications au Congo pendant 48 heures, officiellement pour empêcher l'opposition de publier des résultats «illégaux». Selon les autorités, la décision de couper toutes les télécommunications (téléphone, internet, SMS) dans le pays aujourd'hui dimanche et demain lundi a été prise «pour des raisons de sécurité et de sûreté nationales». Coalisés contre M. Sassou Nguesso, qui cumule plus de 32 ans au pouvoir à la tête du Congo, cinq candidats d'opposition estiment que les conditions ne sont pas remplies pour des élections «sincères, crédibles et transparentes».Sénégal?: scrutin l Les Sénégalais votent ce dimanche à un référendum sur des réformes constitutionnelles, dont la réduction du mandat du chef de l'Etat de sept à cinq ans, une consultation qui a pris des allures de vote pour ou contre le président Macky Sall. La campagne express d'une semaine a été émaillée d'accusations de corruption, de trafic d'influence, de désinformation et même de violences, dans un pays réputé pour sa stabilité et présenté comme une démocratie modèle en Afrique, à tel point que plus de 3 000 policiers ont été appelés «en renfort pour sécuriser le vote», croit savoir le quotidien l'Obs. Quelque 5,5 millions d'électeurs sont appelés aux urnes de 08h00 à 18h00 (GMT et heure locale), les premiers résultats officiels étant attendus, demain lundi, au plus tôt.




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