Algérie

En bref...



En bref...
- La mortalité maternelle en «net recul» ces dernières annéesLe taux de mortalité maternelle a connu un «net recul» ces dernières années en Algérie et devrait se situer autour de 57,5 décès pour 100 000 naissances vivantes en 2015, alors qu'il était de 230 pour 100 000 naissances en 1990, a indiqué, hier à Alger, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf. Ce taux «situe l'Algérie à un niveau intermédiaire mais reste en deçà des attentes et des moyens mobilisés par l'Etat», a néanmoins relevé le premier responsable du secteur.- Tamanrasset : attribution de 8000 lots de terrain à bâtirUne opération d'attribution de 8000 parcelles de terrain destinées à l'autoconstruction est en cours d'exécution dans la commune de Tamanrasset, a-t-on appris d'Ahmed Hammad Zounga, président de l'Assemblée populaire communale. L'opération, qui intervient en application des instructions du gouvernement visant à encourager ce type de construction dans les régions du Sud et des Hauts-Plateaux, est projetée en deux phases, a signalé le président de l'APC.- Bouteflika reçoit Lakhdar BrahimiLe président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a reçu, mercredi à Alger, le diplomate et ancien ministre des Affaires étrangères, Lakhdar Brahimi. Dans une déclaration à la presse à l'issue de l'audience, M. Brahimi a indiqué avoir évoqué avec le président Bouteflika plusieurs sujets dont particulièrement «les aspirations et les projets de l'Algérie». L'entretien a porté sur la «situation grave dans les régions arabe et africaine» notamment «au Mali, en Libye, en Syrie et en Irak, outre les souffrances du peuple palestinien», a-t-il ajouté.L'ancien ministre des Affaires étrangères a affirmé avoir informé le président de la République sur «la rencontre qui l'a regroupé ainsi que des membres du Comité des sages (Global Elders), institué par Nelson Mandela, avec le président russe Poutine à Moscou et qui a porté sur la situation en Ukraine et dans la région arabe».- Nouredine Bedoui reconnaît l'ampleur de la bureaucratie et de la corruptionS'adressant aux cadres de son ministère et aux élus locaux à l'issue d'une série de rencontres dont la dernière a été tenue mardi, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Nouredine Bedoui a reconnu que «la bureaucratie, le népotisme et la corruption sont aujourd'hui des maux endémiques et persistants qui menacent, hélas, les fondements de notre organisation administrative».Il a ajouté qu'«il est indispensable de lutter contre ces phénomènes, sans relâche, pour les faire disparaître, et ce, à travers le processus de modernisation enclenché». M. Bedoui a expliqué que cela «se concrétisera avec l'appui d'une politique plus entreprenante» en matière de simplification et d'harmonisation des procédures, que son département s'attelle à mettre en ?uvre.- Banque mondiale : révision à la baisse de la croissance de l'AlgérieLa Banque mondiale (BM) prévoit pour l'Algérie une croissance globale de 2,6% en 2015 et de l'ordre de 4% en 2016 et en 2017, a-t-elle indiqué dans son rapport semestriel sur les perspectives économiques mondiales publié hier. Il est constaté que par rapport à ses estimations faites en janvier dernier, la BM a abaissé sa prévision de croissance du pays pour l'année 2015 puisqu'elle tablait sur une hausse du PIB de 3,3%.Mais sur les deux prochaines années, l'institution de Bretton Woods a revu en hausse ses pronostics pour l'Algérie en escomptant, désormais, sur une croissance de 3,9% en 2016 (contre un pronostic de 3,5% en janvier dernier) et de 4% en 2017 (contre 3,5%). Les nouvelles projections de la BM rejoignent celles faites, en avril dernier, par le FMI qui a prévu pour l'Algérie une croissance globale de 2,6% en 2015 avant de remonter à 3,9% en 2016.Evoquant les pays de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient (MENA), la BM avise que la chute des cours pétroliers «pose un problème particulier aux pays exportateurs de pétrole dont la plupart sont aussi confrontés à de sérieuses difficultés de sécurité (Libye, Irak et Yémen), ou disposent d'une capacité d'amortissement économique limitée (Iran, Irak)».




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)