- Yémen : La Turquie et l'Iran sont d'accord pour arrêter la guerre au Yémen et encourager une solution politique, a déclaré hier le président iranien Hassan Rohani, après un entretien avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan en visite à Téhéran. «Nous avons parlé de l'Irak, de la Syrie, de la Palestine (...). Nous avons eu une plus longue discussion à propos du Yémen. Nous pensons tous deux que l'on doit voir le plus rapidement possible la fin de la guerre, qu'un cessez-le-feu complet soit instauré et que les attaques cessent» contre le Yémen, a déclaré M. Rohani, dans une déclaration commune diffusée par la télévision d'Etat.- Syrie : Un membre de l'opposition syrienne tolérée par le régime, Saleh Al Nabouani, a été arrêté hier en rentrant dans son pays après avoir participé à un atelier sur les droits de l'homme à Genève, a affirmé une ONG syrienne. M. Al Nabouani, âgé de 44 ans et originaire de la localité druze de Soueïda, appawrtient au courant Kameh de l'opposant Haytham Manna et est l'un des fondateurs du Comité de coordination nationale pour les forces du changement démocratique (CCND), toléré par le régime. M. Manna a précisé que l'opposant avait participé aussi à Dubaï à un comité préparatoire à la Conférence du Caire qui doit réunir, fin avril-début mai, quelque 150 opposants.- Chypre : Les pourparlers pour la réunification de Chypre vont reprendre après six mois de suspension, a annoncé hier l'envoyé spécial de l'ONU, Espen Barth Eide, sans préciser de date. Chypriotes grecs et Chypriotes turcs se sont mis d'accord pour reprendre les négociations sous l'égide de l'ONU «dans quelques semaines, et pas quelques mois, à partir d'aujourd'hui», a-t-il déclaré à la presse à Nicosie. «Je crois fermement que 2015 sera une année décisive», a-t-il ajouté, affirmant penser qu'il pourrait être «l'ultime envoyé des Nations unies à Chypre».L'île est coupée en deux depuis l'invasion du nord par la Turquie en 1974 en réaction à un coup d'Etat visant à rattacher l'île à la Grèce.- Afghanistan : Après avoir réalisé des progrès importants en matière des droits des femmes, l'Afghanistan tourne aujourd'hui le dos aux militantes qui sont «plus que jamais» vulnérables aux menaces de mort, aux assassinats ciblés et aux agressions sexuelles, a soutenu hier l'organisation Amnesty International. Un nombre croissant de militantes des droits de l'homme sont l'objet d'attaques à la voiture piégée, à la grenade, voire du meurtre de membres de leurs familles, souligne Amnesty dans un rapport rendu public hier à Kaboul.La majorité des menaces provient de talibans, de groupes rebelles armés et de responsables gouvernementaux.
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Posté Le : 08/04/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : El Watan
Source : www.elwatan.com